Sandra oublie Delphine
Datte: 07/04/2019,
Catégories:
ff,
... indication et me fit entrer. Je jouais le jeu, me laissant faire. Elle passa derrière toi et déposa un baiser dans mon cou, me faisant frémir. — Je vais t’avouer un truc, mais tu ne ris pas… murmura-t-elle.— Promis. Elle fit glisser la fermeture de ma robe jusqu’au bas des reins tout en poursuivant : — Tu aurais pu m’embrasser dès le cours de gym dans le vestiaire, mais j’ai eu peur. Idem au pub. Je souris, amusée par sa fausse timidité. — Que de temps perdu, alors ! plaisantai-je. Ma robe était à terre et ma nouvelle chérie se colla à mon dos, ses seins dressés contre mes omoplates. Elle m’enserra dans ses bras fins et musclés et me dit tout bas : — Mais là, ce soir, ici j’ai VRAIMENT envie de toi. Touchée par cet aveu, je me retournai et pris son regard de plein fouet. Elle ne mentait pas. Notre baiser fut tendre, et Élodie défit mon soutien-gorge, libérant ma poitrine qui se colla à la sienne tandis que nous tombions sur mon lit. Notre passion naissante mit le feu à nos corps, et les minutes qui suivirent furent hot ! Ma nouvelle maîtresse découvrit avec passion mes seins tendus qui furent frôlés, caressés, pressés pour mon plus grand plaisir. De mon côté je fis rapidement glisser son string léger pour mieux admirer ce que je devinais : sa toison brune était magnifiquement taillée en un buisson ras qui attira aussitôt ma main. Élodie gémit tandis que je découvrais une moiteur attendue et enivrante. Sans cesser de l’embrasser, je cherchais LA caresse qui la ferait ...
... décoller. Sans surprise, son clitoris répondit à mes attentes, et bientôt ma jolie brune se tordait de plaisir sous mes doigts, lâchant ma bouche pour mieux gémir et se laisser aller. Telle une liane, son corps se tordait sur les draps ; le spectacle était hautement excitant. Je compris à sa respiration que son deuxième orgasme était proche. Les yeux clos, elle cria son plaisir en emprisonnant ma main entre ses cuisses et en la poissant de son jus. Le souffle court, elle ouvrit les yeux et me sourit : — Tu es diabolique ! Je répondis à son sourire, silencieuse, puis montai sur son corps trempé de sueur pour mieux l’embrasser. Ce baiser langoureux couplé au contact de nos seins me fit décoller. Mon string trempé se frottait à sa toison dans un mouvement sans équivoque. Ce jeu dura quelques minutes, rendant mon corps électrique et hypersensible. N’en pouvant, plus j’interrompis notre baiser pour l’implorer : — Fais-moi jouir, Élodie… La belle brune gémit à ces mots, et malgré son inexpérience (vraiment ?) prit les choses en main, ou plutôt en bouche… Elle me débarrassa de mon string, poussant un soupir de désir en découvrant mon sexe lisse, et sans hésitation en trouva le chemin. D’abord frôlé puis embrassé et enfin léché, mon sexe lui appartint pour les minutes qui suivirent. Sa langue se faufilait là ou j’aimais, repartait, revenait, me rendait dingue. Je gémissais en la regardant se démener entre mes cuisses, le regard brillant de désir et d’amour. Je n’avais aucune indication à lui ...