1. On passe à l'acte


    Datte: 08/04/2019, Catégories: fh, fhhh, cocus, inconnu, fépilée, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, humour,

    ... bouche et reprit son mari en main afin d’alterner les sucettes. Le mari se demanda s’il ne s’agissait pas d’un acte de charité. C’était presque humiliant ; il n’était pas sous-dimensionné, comparé à la normale ; mais à côté de l’autre, il faisait franchement demi-portion. Après s’être amusée à frotter les glands l’un contre l’autre et les forcer ensemble dans sa bouche, Maryse se releva pour – la diablesse – diriger le manche anonyme contre son bas-ventre et s’en servir d’accessoire pour écarter ses lèvres et se frictionner la perle. La position qu’elle dut adopter pour mener à bien la manœuvre était d’une impudeur choquante : debout, les jambes ouvertes, les genoux à peine fléchis et le pubis forcé en avant, elle penchait encore la tête pour ajuster son clitoris au méat baveux. — Maryse, pas ça, bégaya Vincent.— Embrasse-moi, supplia-t-elle en réponse. Pendant qu’il l’embrassait, il ne voyait plus la manœuvre, mais devinait qu’avec ce sexe en main, dans l’état où elle était, elle ne pouvait que rechercher son utilité finale. Elle se dégagea soudain du baiser pour exprimer un râle. — Maryse, non, pas ça ! Elle gémit, renversa son visage vers le plafond et balança les hanches d’avant en arrière. — Chérie, pas ça. L’emboîtement fut de courte durée ; le taureau beugla dans la cabine voisine et la belle eut droit à un premier jet sous pression qui lui noya les entrailles. — Maryse ! Elle se déroba à l’ensemencement herculéen et recula. Courbée en avant, elle guida les giclées ...
    ... qui suivirent et s’arrosa l’entrecuisse depuis le bouton de proue jusqu’à l’œillet de poupe. On ne pouvait pas mieux se tartiner. Enfin elle lâcha l’anaconda obsolète qui s’affaissa lourdement contre la paroi. — Il t’a joui dedans ? bégaya Vincent. Elle eut un hochement positif et leva une jambe contre le mur pour reprendre son mari en main. — Baise-moi, souffla-t-elle en ajustant le sexe de bois vert à contre-courant des coulées de lave. Vincent l’agrippa par les fesses, et d’un solide coup de hanche se planta jusqu’à la garde. Pour la première fois, il gratifia sa jeune mariée par le titre de noblesse que toute femme se doit de gagner tôt ou tard : « Salope ! » Il la secoua fortement en répétant ce mot qui lui faisait du bien, un mot comme un code qui ouvrait des portes inédites. Pour parler de porte, ses phalanges, à proximité de l’anus poissé, lui inspirèrent une visite surprise. Mais comme il n’entrait jamais sans frapper, Vincent battit des paumes contre les battants ronds qui flanquaient l’entrée. Il les battit jusqu’à les rougir. Enfin il força le sas de l’entrée des artistes pour une visite de courtoisie, simplement digitale, avec l’annulaire et l’alliance en or comme butoir. L’hôtesse fut si ravie de cette consultation inattendue qu’elle se mit à danser la gigote et chanter le blues. Le visiteur, qui ne cessait d’honorer sa princesse par son nouveau titre, fit sauter le champagne. Référence gardée envers le Stromboli et le Vésuve, l’orgasme fut tout de même volcanique ...
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