1. À l'ombre de ses ailes (3)


    Datte: 08/04/2019, Catégories: Erotique,

    ... saisir la bite bandée du mec. Sur l’autre flanc, celui qui était à sa droite s’était juste relevé un peu. Il avançait sa queue vers sa bouche. Alors que le pistonnage de son anus commençait, Claude dû branler l’un et sucer l’autre. Restait donc un spectateur qui devait dans un coin se rincer l’œil. Sans qu’elle ne parvienne à émerger de cette torpeur qui la mettait en transe, elle subit de manière continue les assauts des mâles. Ceux-ci changèrent de place, et son derrière affolé se vit offrir un festival de queues. Elle fut bourrée en gémissant de plaisir. Elle ne vit jamais Dimitri qui, après s’être épanché en elle, cédait volontiers sa place à celui qui attendait un peu à l’écart. Claude ne se rendit pas compte non plus tant les trois baiseurs la chahutaient, que ce même Dimitri fouillait dans son sac à main, à la recherche de son adresse. Ce qu’il découvrit bien vite en consultant tout bêtement le certificat d’immatriculation de son véhicule. Il revint vers le groupe toujours fort occupé à faire grimper aux rideaux la brune. Les traces de sperme sur son cou et jusqu’au milieu de son dos attestaient de la continuité des événements. Cette femme aimait le sexe et savait donner ou recevoir comme peu de dames pouvaient le faire. Plus de deux heures de baise non-stop avec quatre mecs et elle remuait encore son popotin à la rencontre du manche qui la sodomisait. Une véritable performance dont bien peu aurait su faire preuve. Dimitri repoussa gentiment le dernier assaillant ...
    ... qui ahanait en s’agrippant aux hanches de la jolie brune. Un court instant il lui flatta la croupe avec une tendresse toute particulière. La caresse avait fait tressaillir le corps pourtant secoué par de longs spasmes depuis quelques minutes. Ne pas abimer la belle pouliche pour laquelle Dimitri avait d’autres projets. Oui, ménager sa monture devenait impératif. Les derniers soubresauts de son ventre furent accompagnés par une flatterie de son épiderme en feu. La main qui lui massait les reins avait une douceur et une chaleur qui la firent se retourner. Le sexe qu’elle tenait en bouche aussi refluait sans vraie raison. De sa menotte la tige qu’elle astiquait avec ardeur aussi s’échappait d’un coup. Vide ! C’était la sensation de vide qui d’un coup entourait Claude. Ils l’abandonnaient tous sans qu’elle ne sache pourquoi. Mais sur son dos, une paluche tendre se promenait. Alors la voix suave de celui qui l’avait amené ici s’élevait, semblant vouloir mettre fin à la partie fine engagée plutôt dans la soirée. — Vous êtes trop gourmande Claude. Mes amis n’en peuvent plus. Une véritable croqueuse d’hommes. Mais nous devons songer à rentrer. — Ah ? Quelle heure est-il ? — Bien trop tard déjà ma belle. Allons venez, nous devons filer… je vous dépose à votre voiture. — Euh… oui, oui bien sûr ! En se rhabillant la brune se sentait toute molle. Ces inconnus l’avaient prises avec force partout et ses jambes supportaient à peine son corps. Mais au fond d’elle, elle était bien, calme et ...
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