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Une putain bien ramonée
Datte: 09/04/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... pouvait faire l'oncle et cette femme. Il ne fallait pas être nanti d'une vaste imagination pour se représenter concrètement la scène. La garce n'avait du se rhabiller. Au contraire. J'avais pu mesurer un instant en son regard tout le vice dont elle put être capable. Elle m'avait assez manifesté son désir pour moi. Notamment elle avait avec quelque indécence jeter un œil à l'endroit du pantalon où je bandais encore. Elle fut tentée peut-être d'y mettre la main.L'oncle sursauta tandis que je lui rapportais que la course avait échoué du fait de l'absence d'une certaine personne. Manifestement cela lui était sorti de la tête ou plutôt tout cela était cousu de fil blanc. Je brûlais de lui demander si sa séance s'était bien passée ou plutôt si la chaudière de madame ne comportait aucune anomalie. Peut-être perçut-il mon genre de curiosité car il asséna goguenard : »T'as du taper dans l’œil de l’autre salope. Ne t'avise d'aller là voir. Elle croque les petits jeunes. »Vous concevez qu'un tel propos ne tombât pas dans l'oreille d'un sourd. J'ourdissais bientôt d'aller visiter cette garce. Il fallait cependant se débarrasser de l'oncle et qu'il n'aille pas là-bas le même jour. En même temps je n'étais pas sûre qu’elle y fut aussi et sans son mari ou autre. Bref tel Christophe Colomb je partis ce matin un peu au pif et à l'aventure. J'inventais un conte que je devais faire tour à la FAC pour m'assurer de mes inscriptions. J'assurais être de retour dans l'après midi. L'oncle n'y vit ...
... goutte.Il n'est point besoin de vous dire que mon cœur battait le tambour tandis que je dirigeais mes pas vers le fond de l’allée où demeurais la fameuse maison. Au dernier moment je m'avisais qu'on pouvait derrière les volets et rideaux m’espionner et rapporter à mon oncle ou autre ma présence ici. Il était de toute façon trop tard. Le sort en était jeté. J'étais pétrifié d'angoisse. Mes jambes flageolaient. On eût dit qu'on me menait au gibet. Tel un cadavre, je sonnais espérant qu'il n'y eût pas de réponse.Je vis un rideau frémir. Soudain je me représentais que ce pourrait être le mari. Qu'allais-je bien pouvoir lui expliquer ?. Mille racontars tournaient déjà dans ma tête. Enfin et heureusement je vis paraître la jolie tête de la dame. J'étais libéré d'un grand poids. Tout sourire, elle me fit signe de venir et d'entrer plutôt par le derrière de la maison. Elle me reçut cette fois en peignoir. On devinait cependant dessous la nuisette de l'autre fois. D'un ton moqueur elle dit : « J'ai eu idée que tu viendrais ! »Pour m'éprouver un peu et peut-être par cruauté, elle ajouta : « Je pense que ton oncle ne doit savoir ta présence ici ? » Je bafouillais en effet que je comptais sur son entière discrétion. Elle m'invita au salon et devant la télé où elle regardait une de ces séries américaines débiles. Elle remplit à ras-bord ma tasse de café. Elle était en face de moi enfoncée dans un fauteuil à moins de deux mètres de moi. Écartant subrepticement les pans de son peignoir, elle ...