1. Une putain bien ramonée


    Datte: 09/04/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... découvrit l'absence d'une culotte.On lui voyait la chatte. Celle-ci était en tout point fidèle à ce que j'avais pu percevoir l'autre fois au travers d'une culotte transparente. Elle écartait ostensiblement les cuisses pour signifier que je devais regarder et me rincer l’œil. Façon de dire que tout cela était à moi. Que j'en pourrais disposer. Je bandais à un tel point. Son visage était barré d'un sourire triomphant. Son joli pied battait dans l'air. Ses paroles étaient indiscernables. J'opinais de la tête. Je voguais en une énième dimension. .Je ne sais comment tel une chatte elle parvint à se glisser jusqu'à mon genou. En un éclair ma braguette fut ouverte et ma queue extirpée. Elle exprima un Oh de surprise qui n'était pas joué car je savais de réputation avoir la queue énorme et formidable. Elle ajouta, coquine : « T'es bien monté chéri. Tu pourrais en remontrer à ton oncle, ce vantard. ». Elle s'enquit après l'avoir branlé de sucer le nœud impressionnant. On ne m'avait jamais sucé de la sorte. Je fondais en sa bouche.De temps en temps elle se hissait jusqu'à ma bouche pour la dévorer avec la sienne. J'étais chaud bouillant sur le point d'exploser.J'avais envie de foutre cette chienne. Prévenant mon envie elle se jeta d'un coup cuisses ouvertes sur mon pieu tandis que je demeurais assis dans le fauteuil. Elle me chevauchait ainsi se procurant à loisir du plaisir. Je palpais et dévorais ses seins mignons. Elle jouissait sans frein n'ayant cure qu'on l'entendit jusque dans ...
    ... la rue. Mon oncle avait raison qu'elle était salope.Nous finîmes tels deux bêtes sur le tapis. Elle n'adorait rien tant qu'être entreprise en levrette. Besognant à fond je lui mordillais par jeu ses petites oreilles. Elle m'exhortait à la foutre fort. Enfin elle me cria : « Petit montre-moi ce que tu sais faire ! Encule-moi ! » J'étais peu averti en cet exercice. L'été dernier initié à ce jeu j'avais un peu raté une jeune femme en perdant tous mes moyens. Heureusement cette fois mon désir au comble m'offrit des ressources inespérés. Je lui enfonçais son cul.Je lâchais tout mon foutre en saturant son anus. Elle se jeta goulûment sur mon sexe lécha,t pour léchant le gland comme pour le laver. Je n'avais jamais vu une dévergondée pareille. Le mot cochonne étant insuffisant. A cet instant un téléphone vibra. C'était le sien. Elle me dit signe d'aller me nettoyer dans la sale de bain. Elle entama une conservation dont je perçus quelques échos. Je devinais qu'il s'agissait d'un homme et manifestement d'un amant. Pouvait-ce être mon oncle ?Toute sourire et pour provoquer, elle dit : « les affaires reprennent. J'attends tantôt un ami. Tu dois déguerpir ». Elle consentit cependant à ce que nous échangeâmes nos numéros. Je ne serais la prochaine fois obligé d'inventer un conte. Nous accorderions nos emplois du temps. Au pire j'aurais droit à la prendre dans sa voiture. Je me planquais peu après être parti. Je voulais savoir celui qui m'évinçait. Ce ne fut pas mon oncle. Je vis venir un ...