1. Soubrette pour un soir


    Datte: 09/04/2019, Catégories: grp, fbi, nympho, fdomine, soubrette, noculotte, facial, Partouze / Groupe init,

    ... manifestement pas le plaisir, il bande comme un taureau et sa queue glisse facilement entre les cuisses luisantes de la fille contre laquelle il est attaché… elle essaye d’écarter les cuisses et il essaye de la pénétrer, mais sous les coups de martinets et parfois de petits fouets, ils se tordent de douleur, si bien qu’ils n’arrivent jamais à rester très longtemps l’un dans l’autre… Assis dans un sofa, un moustachu à lunettes et un peu bedonnant commente la scène en se branlant : — Alors chérie ? Toi qui te réjouissais de te faire baiser par Henri, qu’est-ce que tu en penses à présent ? Elle ne répond pas, mais on voit qu’en entendant son mari la houspiller, la fille attachée est parcourue de tremblements et c’est une raison de plus de ne pas pouvoir garder la bite de son amant dans son ventre. La fouetteuse se touche aussi, elle balance l’instrument d’une main, envoie quelques coups et puis caresse impudiquement son entrejambe ou se pince un mamelon, elle commente aussi : — Je crois que je vais attacher cette petite chienne dos à son pantin, je me demande s’il pourra la lui mettre dans le cul…— Bonne idée ! dit la moustache « faisons ça… » Ce qui semblait n’être qu’une seule structure est en fait un assemblage de deux structures jumelles, ce qui permet d’écarter la suppliciée, de lui faire faire un demi-tour et puis de la laisser retomber dos à son compagnon de torture… aussi tôt relâchée, elle se cambre le plus possible, essayant désespérément de placer son œillet face au ...
    ... gland violacé tendu dans son dos… mais c’est encore plus dur que face à face et ça fait beaucoup rire la flagelleuse et le mari moustachu… Finalement ce dernier se lève, saisit une espèce de triple fouet de cuir et commence à lézarder le ventre tendu de sa pauvre épouse… du coup, la sévère retourne le pendu aussi et le flagelle sur toute la face à l’exception du visage, le pauvre bande tout ce qu’il peut, il est tellement dur et tendu qu’on pourrait croire que sa bite veut décoller de son corps, elle a beau y projeter son martinet de toutes ses forces, la bite ne se dégonfle pas… — Tu veux que je te suce, peut-être ?— Oh oui, madame…— Ça ne va pas ? Tu as oublié que je suis gouine ?— Pardon, madame…— N’empêche, tu donnes quand même fort envie de te lécher le gland… dommage que ce ne soit pas un clito…— En quelque sorte, c’en est un, madame, c’est un clito au bout d’une hampe…— Ça va, hein ! On sait bien que tu es médecin… pas besoin de me faire un cours… Elle est peut-être homo, mais à voir comment elle caresse le pauvre vit meurtri, elle n’est ni insensible ni novice avec les mâles. Pendant ce moment de tendre repos par-devant lui, il entend dans son dos son amante hurler à pleins poumons… la pièce est remplie de ses cris, mais parfois, entre deux hurlements, on peut entendre le grave vrombissement d’une tête vibrante… le sadique mari l’amène jusqu’au bord de l’orgasme et puis retire brusquement le vibro… Elle reste crispée, grimaçante, ses jambes brinquebalent dans tous les ...
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