1. Non-assistance à personne en danger


    Datte: 09/04/2019, Catégories: fhhh, grp, gros(ses), fsoumise, Oral Partouze / Groupe hdanus, attache, confession,

    ... ambiance que je comprends organisée pour leur plaisir. Je salue tout le monde. Jacek se propose de me raccompagner à la porte. Mais dans l’escalier, alors que je monte devant lui, je l’entends dire : — Dommage que tu t’en ailles. J’aime bien les rondes. Arrivée en haut de l’escalier, la porte me résiste. Le palier est étroit et j’en occupe une bonne partie, aussi l’homme passe ses mains sur mes côtés pour la débloquer. Elle s’ouvre, mais pour lui laisser le passage je dois reculer et je sens le corps de Jacek qui ne bouge pas. La pression n’est pas désagréable et je dois me contorsionner afin de libérer l’ouverture. Un bref instant, j’ai la sensation de faire habillée ce que je fais à mes amants : utiliser mes fesses pour masser leur bas-ventre. Mais l’entrée est devant moi. Je le libère, à regret. Il passe devant moi, se révèle gentleman pour ouvrir la porte de la rue. Je ne sais pas s’il a vu dans mes yeux un accord ou quoi que ce soit qui l’y autorise, mais tout en disant : — Ne pars pas, tu es trop belle… il se penche pour m’embrasser. Une femme comme moi, ignorée dans le meilleur des cas, le plus souvent méprisée par des remarques sur ma taille où « la grosse » est la plus fine, ou au pire moquée par des remarques méchantes, ne résiste pas à un compliment. « Tu es trop belle… » Je suis prête à tout pour cette phrase si banale. Il m’embrasse. Je me laisse faire ; mieux, je l’encourage en levant mon visage vers lui. Sa langue est une caresse dans ma bouche, et la mienne ...
    ... se mesure à l’intruse. Combien de temps dure ce baiser ? Aucune idée. La seule chose que je sais, c’est que la porte se referme sur la rue et que mon manteau tombe au sol sans que je ne fasse le moindre geste. Après, je ne me souviens que de mains qui s’emparent de mon corps, de boutons qui sautent, de chemisier débraillé qui laisse le passage à ma poitrine très vite libérée d’un soutien-gorge dont l’attache semble complice. Il est partout. Il m’enveloppe, me palpe, me caresse. Déjà une main est sous ma jupe, glissée entre slip et peau pour se plaquer sur une chatte qui ne demande que cela. — Jacek ? Qu’est-ce que tu fais ? dit une voix qui sort de la cave. Il semble se réveiller et s’excuse. — Il faut que je descende. Ne pars pas. Reste. Viens avec moi. Tu es si belle… L’accent que je trouvais inquiétant tout à l’heure est maintenant une musique à mon oreille. « Tu es si belle… » résonne au plus profond de moi. Je le suis. Nous redescendons ces escaliers étroits. Lorsqu’il ouvre la porte du local, l’odeur est forte. Une odeur de peau humide, de transpiration, d’hormones que l’activité sexuelle libère dans l’air. — Ah, te voilà ! reprend le mari d’Axelle. Ils n’ont pas perdu de temps, ou alors je n’ai pas vu le temps passer dans les bras de mon ravisseur. Axelle chevauche son mari, couché sur un matelas à même le sol. Le Phil, maintenant nu, est en train de se faire pomper par mon amie. Elle y met de l’ardeur, montant et descendant sur le pieu marital tout en enfournant la ...
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