1. Non-assistance à personne en danger


    Datte: 09/04/2019, Catégories: fhhh, grp, gros(ses), fsoumise, Oral Partouze / Groupe hdanus, attache, confession,

    ... vais t’en donner. Attends qu’ils arrivent. En attendant, pompe-moi. Montre-moi qu’une pute comme toi sait sucer un homme, un vrai, pas un de tes amants minables… Les coups qui accompagnent ces paroles me font frémir. Il doit la frapper comme une brute. — Tant pis, on entre… dit Jacek, le plus vieux, celui qui semble être le chef. Phil frappe à la porte. L’homme répond d’une voix trouble. — Entrez. On est là. Elle vous attend. La porte grince. La pièce est à peine éclairée. « Elle vous attend. » : mon Dieu, tout un programme. Que vont-ils lui faire ? Et moi ? Ma première vision, ce sont ces chaînes qui tombent du plafond et qui brillent d’un éclat d’enfer. La seconde, c’est cet homme qui nous tourne le dos, en costume mais un fouet court à la main. Et ce fouet qui tombe, méthodique, coup après coup, avec un bruit terrible de chairs déchirées dont le sang doit couler. La troisième, en avançant sur les pas de Phil, c’est Axelle mon amie, nue, à genoux, les bras en l’air, martyr moderne de ce monstre dont le sexe se découvre à mesure que nous avançons. Axelle est l’esclave de cet homme, son mari si j’ai bien compris, et qui la force à sucer son sexe monstrueux de mâle en colère. Le spectacle est étonnant. Contraste de l’homme en costume, le sexe émergeant de son pantalon et de cette femme réduite à l’esclavage, attachée, humiliée, à genoux et nue, la bouche pleine de ce mandrin que son bourreau propulse dans sa gorge. Et le fouet, ce fouet qui s’abat, qui s’abat… Ouf, qui ...
    ... s’abat sur une chaise juste à côté et dont les coups résonnent. Au moins, elle n’est pas fouettée. Tout change lorsque le couple nous découvre. — Mais… dit l’homme.— Sabine… dit la femme. C’est seulement quelques minutes plus tard, sexe rentré au bercail, peignoir sur les épaules de mon amie libérée de ses liens, que tout devient plus clair. Plutôt, c’est alors que les hommes discutent vers la porte, qu’Axelle m’explique. — C’est arrivé d’un coup. Marc s’est aperçu que je le trompais. Cela l’a mis en colère ; pourtant c’est un ange d’habitude, et il m’a secouée, un peu. Cette violence retenue m’a excitée. Lui, de son côté, a découvert que cette attitude lui convenait. Ainsi, au fil des semaines, nous avons évolué. Maintenant, notre sexualité est un jeu de rôles. J’adore. Il me punit. Mais aussi, il me donne à des amis. Mon amie a les yeux pleins de larmes. — J’ai honte. Sabine, j’ai honte, mais c’est bon. Les hommes que tu as rencontrés font partie de notre jeu. Marc, mon mari cocu qui veut se venger, me livre à ses amis. Phil, et surtout Jacek, sont des amants redoutables. Je ne sais comment sortir de cette maison où ma bêtise et ma suspicion m’ont conduite. Je suis en territoire inconnu. Plus conne que moi, plus indiscrète que moi, cela n’existe pas. Je vais me retirer. Je bafouille des excuses ridicules. Axelle me fait jurer le secret le plus absolu. Mais aussi elle me remercie d’avoir été si attentive à elle, si vigilante, même si cela me conduit dans cette cave et casse une ...
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