1. Non-assistance à personne en danger


    Datte: 09/04/2019, Catégories: fhhh, grp, gros(ses), fsoumise, Oral Partouze / Groupe hdanus, attache, confession,

    ... ou avachie. » Jacek est déjà contre moi. Ses mains retrouvent mon corps. Sa bouche retrouve mes lèvres. Pourquoi répondre ? De toute façon il n’attend pas. De débraillée, je passe au stade de dénudée. Il est d’une dextérité surprenante. Ma poitrine, libérée et exposée maintenant, forme deux bosses qui ne se tiennent pas trop mal et ne me fait pas honte. Sa bouche est partout. Il me suce les seins, déclenchant des frissons incontrôlés. Mais il ne s’arrête pas là. C’est vrai que je ne résiste pas beaucoup et que même je l’aide en me soulevant lorsqu’il tire sur mon collant et retire ma petite culotte. J’ai presque honte lorsqu’il la porte à son visage pour en respirer les effluves. Avec ma culotte, sa maîtresse, Axelle, pourrait en tailler cinq ou six strings, et encore garder du tissu pour un mouchoir. Mais il le fait avec tant de naturel et de plaisir que la grosse que je suis trouve un « champion » dans cet homme. — Elle est toute mouillée, coquine… Tu as aimé, alors ? Que répondre ? « Oui », bien sûr. À quoi bon mentir dans ces circonstances ? Il a alors cette proposition surprenante : — Toi aussi, tu veux être punie ?— Je ne suis pas mariée, et donc personne à cocufier. Je ne peux m’empêcher d’ajouter : — Déjà que j’ai bien du mal avec les hommes… Alors Jacek me fait le plus beau des cadeaux. Celui que toute femme rêve de recevoir. Pour les « belles », elles sont très vite lassées de ce compliment. Mais nous, les moins belles, les quasiment moches, les grosses, savons ...
    ... le reconnaître : — Comment ? Mais tu es si belle… Tous les hommes devraient être à tes pieds. Je ne peux que le regarder. Et s’il se moquait de moi ? Mais non, son visage est franc, ses yeux pétillent de me regarder. Mieux, je vois sa verge reprendre de la vigueur. Et c’est pour moi. C’est grâce à moi. Les autres, qui sont silencieux et écoutent, sont derrière son dos. Son visage plonge entre mes cuisses. Mes jambons deviennent des muscles forts et volontaires pour lui laisser le passage. Sans hésiter, il trouve ma fente dans mes plis disgracieux. Je sursaute lorsque ses lèvres viennent se plaquer aux miennes. Il suce, lèche, aspire et ne revient à la surface que pour dire : — C’est bon. Tu ruisselles. Pendant qu’il me suce, ses mains viennent prendre possession de mes seins. Ils sont à lui. Ils gonflent pour lui. Mes tétons sont des aiguilles que ses doigts roulent. Je jouis. Une fois. Il continue, sans peur d’étouffer entre mes chairs. Je jouis à nouveau, alors qu’une main entière entre dans ma chatte sans difficulté et tourne à l’intérieur. J’ai du mal à saisir son sexe, alors qu’il est à genoux devant moi, tel un adorateur d’Aphrodite. Il comprend mon envie, se soulève pour me le proposer. Je voudrais moi aussi lui donner du plaisir. Tirant sur le mandrin, je l’invite à venir debout sur le canapé, pour que je puisse le goûter. Il me laisse le saisir entre mes lèvres. L’odeur est forte. Senteurs de transpiration, de latex, mais surtout senteur de sperme. Ce sperme qu’il a ...