1. Non-assistance à personne en danger


    Datte: 09/04/2019, Catégories: fhhh, grp, gros(ses), fsoumise, Oral Partouze / Groupe hdanus, attache, confession,

    ... je la suis. Je vois tout de suite qu’elle prend le chemin de chez elle. Je ne suis pas une experte en filature, mais heureusement il fait très sombre en ce mois de décembre. Dès qu’elle ouvre la porte de sa maison, je réalise combien mon idée est idiote, car je ne vais pas pouvoir entrer et rien de ce qui peut se passer à l’intérieur n’en sortira. Pourtant, la voix de son mari qui l’accueille me glace. — Alors, traînée, tu sors du lit de ton amant ? Tu es encore chaude de lui. Salope ! Je vais te faire passer le goût du vice. Descends… Ainsi mon hypothèse est vérifiée. C’est son mari qui la brutalise. Mais la porte se referme et le bruit de la circulation m’empêche d’entendre la suite. « Descends… » Mais où ? À la cave ? Mon Dieu il l’entraîne dans une pièce d’où ses cris ne pourront pas sortir. Au même moment, je vois de la lumière, un peu sur ma gauche, juste au niveau du sol et qui matérialise une petite fenêtre de cave. Un instant, je pense que je vais pouvoir surveiller, mais la vitre est trouble. J’ai beau me pencher, je ne vois ni n’entends rien. Je fais le tour de la maison. Reviens. Essaie à nouveau, approchant mon oreille le plus près possible, à quatre pattes dans l’herbe humide. — Qu’est ce vous faites là ? dit une voix derrière moi. Tu as vu, Phil ? Elle fouine. Je me redresse et me retrouve encadrée par deux gaillards qui font bien une tête de plus que moi. — Ce n’est pas ce que vous croyez ! essayé-je de me justifier.— Mais on ne croit rien. Tu espionnes. C’est ...
    ... tout. Pire, une voleuse ! « Oh là là ! Je suis dans de beaux draps. Ils n’ont pas l’air commode. » — Je suis une amie. Une amie d’Axelle, je dis tout en essayant de partir.— Et où elle va, l’amie d’Axelle ? rugit le deuxième homme, un fort accent slave dans la voix. « Malédiction, je suis tombée sur des gangsters ! C’est bien connu : les hommes de l’Est sont soit peintres, soit truands. Pire, proxénètes. Mon Dieu, Axelle est devenue une esclave sexuelle. Et moi ? » — Au secours ! je commence à crier d’une voix qui s’étrangle.— Mais elle est malade ! dit l’homme en essayant de mettre sa main devant ma bouche.— Jacek, ouvre la porte, on l’emmène. Je ne suis qu’une poupée entre leurs bras. Personne ne peut nous voir. Je vais finir dans un bordel à immigrés, enchaînant passe après passe. La porte d’entrée se referme sur nous. — Tais-toi, ou je te cogne ! dit le plus vieux. On va bien voir si tu connais Axelle et si c’est une copine à toi. Étrangement, ses paroles me rassurent, surtout qu’il me relâche et libère ma bouche. — Jacek, je crois qu’ils sont déjà en bas, annonce Phil en montrant une porte et un escalier éclairé. Nous descendons, moi encadrée par les deux hommes, les jambes flageolantes. Arrivé en bas, le premier fait un « chut » de la main. Il parle doucement. — Je crois qu’ils ont commencé. Qu’est-ce qu’on fait ? Pendant qu’ils réfléchissent, j’entends derrière la mince porte : — Salope, pute, traînée… Tu vas voir, je vais t’apprendre le respect ! Tu aimes la bite, je ...
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