1. Allons à la plage


    Datte: 10/04/2019, Catégories: ff, ffh, plage, magasin, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, pénétratio, attache, Lesbienne fbi,

    ... et voir mes fesses en déborder. Ce n’est guère mieux pour le haut qui glisse inexorablement vers le bas dès que je bouge un peu les bras pour me servir. La situation amuse beaucoup Fanny, et Sylvie par la même occasion. L’accident dans mon sac ressemble de plus en plus à un coup monté. Excitée, Sylvie me claque régulièrement le cul dès que l’occasion se présente, voir mon popotin en déborder l’inspire. Nous sommes aux rayons des boissons lorsque j’entends derrière moi : — Hey, mate la meuf, là !— P’tain, la salope ! Je jette un œil pour voir qui cause ainsi et je vois deux jeunes, la casquette vissée sur la tête, chacun un casque sur les oreilles. C’est certainement pour cela qu’ils parlent si fort du reste, la musique doit hurler dans leurs oreilles et ils ne se rendent pas compte qu’ils parlent si haut. — T’as vu le cul qu’elle se paye, cette pute !— Ouais, attends… Attends ? Mais quoi donc ? Je jette un nouveau coup d’œil discrètement pour le voir se saisir de son téléphone portable qui, je le comprends vite, tient lieu d’appareil de photos. Cela inspire son copain qui sort le sien lui aussi. — Cath, tu peux m’attraper des bouteilles d’eau en bas ? Non, l’autre marque, au fond. Sylvie me demande d’aller récupérer les seules bouteilles de Badoit qui restent au fin fond de l’étagère du bas. Je suis obligée de me plier en deux pour aller les extraire de là-dessous, mon short ne rate pas une si belle occasion de s’enfoncer une fois encore au plus profond. De nouvelles ...
    ... réflexions bien grasses fusent derrière moi, mes adorateurs de la casquette de travers s’en donnent à cœur joie, l’appareil de téléphone à la main, ils immortalisent l’instant. À voir la mine réjouit de Sylvie et Fanny, rien ne leur a échappé. Je m’imagine être bientôt la reine d’un blog, ou autre truc internet, où mes deux lascars lubriques se feront une joie de partager leur butin avec leurs potes. Tout ce petit jeu ravive en moi le diable qui sommeille dans mon bas-ventre, je sens mes seins se gonfler un peu plus, ce qui n’est pas fait pour arranger la situation précaire où ils sont. Lorsque je dépose les bouteilles au fond du chariot, une fois de plus la main de Sylvie me claque les fesses en me disant : — Prends aussi de l’eau plate, la Vittel, là-bas. Le son de sa voix et son geste montrent à quel point elle est excitée, je ne pense d’ailleurs même plus à réajuster pour la énième fois mon short alors que je replonge à la pêche aux bouteilles. Mes deux globes débordent de quasiment la moitié de ce qui sert à couvrir mes fesses, mais je laisse mes fesses ainsi. Les deux jeunes ne nous quittent plus, ils visitent par un heureux hasard les mêmes rayons que nous. Le téléphone à la main, ils me mitraillent à la moindre occasion et Sylvie se charge d’en donner à profusion. — Cath, tu peux prendre du riz, au moins deux paquets, ceux du haut. Après m’avoir fait visiter le bas, voilà que je dois m’étirer pour l’étagère la plus haute. Bien sûr, mon bustier qui tient par miracle et me ...
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