Allons à la plage
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
ff,
ffh,
plage,
magasin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
pénétratio,
attache,
Lesbienne
fbi,
... comprime la poitrine en profite pour s’échapper par le bas. Sous l’œil pervers de Sylvie, je laisse faire et je prends mon temps pour me saisir des boîtes. Bien sûr, je ne choisis pas la bonne marque et, sous les ordres de Sylvie, je reste plus que nécessaire les bras tendus. Le bustier arrive au ras de mes aréoles quand j’ai enfin la bonne marque, mes seins débordent par-dessus formant une sorte de grosse paire de fesse sur ma poitrine. Mes mamelons plus durs que jamais empêchent probablement le tissu de glisser plus bas. C’est alors que Fanny s’approche de moi et dit : — Oh mais on dirait que t’as une tâche là-devant ?— Où ? Fanny attrape alors le top sur mon ventre comme si elle voulait gratter le tissu, mais elle tire si violemment que mes seins explosent par-dessus le textile. Mes mamelons comprimés se détendent et montrent toute leur énormité et raideur aux yeux de tous les présents. Mes seins gonflés à bloc finissent de repousser le tissu et apparaissent dans toute leur beauté. J’ai encore les mains pleines de mes boîtes, Fanny se recule masquant difficilement son rire en disant : — Oh, pardon ! Le temps de me libérer les mains, je me rhabille comme je peux. Sylvie prononce difficilement, tellement elle est elle aussi sous l’emprise du fou rire. — On t’a dit que tu avais une belle poitrine mais faut quand même pas exhiber ça n’importe où, maintenant. C’est tout Catherine ça, elle ne sait pas faire dans la modération.— Vous êtes drôle vous, c’est juste ce top qui est ...
... un peu étroit, dis-je pour ma défense.— Mais non, il te va parfaitement, pas vrai Fanny ?— Oui d’ailleurs je t’offre l’ensemble, tu es trop sublime dedans. Bien sûr, les amateurs photographe n’ont rien perdu de la scène et quand je jette un œil pour voir l’effet que j’ai fait, je les vois en train de se monter l’écran de leurs téléphones respectifs. — P’tain, mate les melons qu’elle se paye, cette pute !— Elle est grave bonne, cet’salope ! Ces commentaires toujours aussi élogieux ne sont pas faits pour me calmer, mon excitation et au plus haut, mon bas-ventre est en feu. Sylvie me glisse à l’oreille. — Fait gaffe, t’es en train de mouiller comme une grosse cochonne ! Je ne peux que le constater en regardant mon entrejambe, une tache sombre est en train de s’épanouir sur mon sexe. Piteuse, je cherche à masquer ma honte derrière le paquet que j’ai en main mais cette situation m’excite plus encore, c’est plus fort que moi. Heureusement, nous arrivons au terme de nos achats et nous filons vers la caisse. Je suis tellement sous l’emprise de mon excitation que je ne passe plus mon temps à rectifier ma tenue, aussi je ne compte plus les paires d’yeux qui dévorent mon popotin mis en valeur par mon déhanchement. Mon bustier, lui, couvre toujours le minimum vital. Le chariot plein, Fanny dit : — Je dois passer à l’accueil, j’ai un truc à récupérer, si c’est bien revenu.— Je t’accompagne, je dois voir aussi quelque chose pour mon fils.— J’avance vers la voiture, dis-je, ça nous fera ...