Allons à la plage
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
ff,
ffh,
plage,
magasin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
pénétratio,
attache,
Lesbienne
fbi,
... et pendent comme deux énormes poires quand elle se penche pour enfiler la combinaison. Finalement, je dois m’avouer battue, ses rondeurs pourtant bien plus importantes que les miennes, étirent la résille mais elle parvient à enfiler la combinaison. Sa poitrine abondante écarte les mailles qui laissent passer ses mamelons turgescents, pour le reste, tout est distendu mais à l’intérieur et rien de craque. — T’es super sexy, dis Fanny, je suis sûre que toi aussi tu aurais un succès fous à Carrouf !— Ah tu vois ! t’as perdu ! Tu mérites une bonne punition pour la peine, comment ils disaient les jeunes, tout à l’heure ? Ah oui, montre-moi ton cul de pute, que je te corrige.— Ok, je l’ai bien mérité, j’ai perdu. Sylvie à les yeux brûlants aussi bien d’alcool que d’excitation, sa nouvelle tenue lui donne des ailes, ou plutôt de fortes envies. De bonne grâce je tourne le dos et je me penche sur le fauteuil en dandinant du croupion pour bien montrer que je m’avoue battue. Une claque sonore tombe rapidement, me faisant même repousser le fauteuil sur lequel je m’appuie, une suivante donne le même résultat. Le plaisir pris lui aussi me vrille le ventre et me fait monter la chaleur aux joues. Je dois lâcher un petit cri significatif à la troisième car Sylvie dit : — J’arrête, car elle est capable de jouir comme ça, je la connais bien ! Ce qui ne l’empêche pas d’en donner une quatrième qui me fait pousser un autre couinement encore plus profond. C’est en me redressant que je vois qu’il y ...
... a un grand hamac suspendu entre deux arbres derrière moi. — Oh ! c’est pas vrai, un hamac. Je rêve de me couler là-dedans depuis longtemps.— Il est assez abîmé, faut qu’on le change, dit Fanny, mais tu peux l’essayer si tu veux.— J’y vais, j’ai trop envie de voir ce que ça fait. Il est fait de grosses mailles, comme un filet de pêche, très large. Quand je m’enfonce dedans, je vois qu’il est aussi très profond, les bords me dépassent largement, une fois couchée dedans. — C’est où qu’il est abîmé ? dis-je.— Un peu partout les mailles ont lâché, ça fait des gros trous, regarde de chaque côté de tes genoux par exemple.— Oui, je vois ça maintenant. En effet de gros trous de chaque côté, un peu en arrière des genoux et sur les côtés se sont élargis sous mon poids. Je ne sais pas pourquoi mais je passe mes jambes dans chacun des trous, tant et si bien que finalement c’est jusqu’aux cuisses que mes jambes passent à travers et je dis. — T’as raison, y a de sacrés trous !— Ça, c’est le truc qu’il ne fallait pas faire. Fanny se lève aussi rapidement que son taux d’alcoolémie le lui permet, me rejoint, referme le haut du hamac sur moi et fait tourner le tout autour de sa fixation. Je ne sais combien de tour mais je me retrouve saucissonnée dans les mailles, complètement prisonnière, impossible de bouger. De plus, j’ai la face vers le sol et mes jambes pendent en dehors du hamac de chaque côté, dans le vide, légèrement repliées et écartées par la pression du filet. Les deux filles sont ...