Allons à la plage - Histoires de Sexe

Allons à la plage

... l’impression qu’elle adore ça ! Pas vrai Cath ?— Arrête, Fanny va finir par croire que c’est vrai, dis-je toujours aussi honteuse de moi et d’avoir montré si vite le diable qui couve dans mon bas-ventre à Fanny. Nous arrivons enfin, il était temps. Les paroles de Sylvie et toutes ses allusions n’ont fait qu’entretenir mon état. La maison de Fanny et Thierry est tout aussi belle que celle de sa sœur. Fanny explique qu’elles avaient hérité du terrain de leur papa et fait construire quasiment en même temps. Une belle piscine trône derrière la maison ainsi qu’une grande terrasse ombragée. La découverte des lieux permet de changer le sujet de conversation, ce qui laisse ma libido souffler un peu. Nous nous installons sur la terrasse et profitons des derniers rayons de soleil. Fanny nous laisse quelques minutes pour mieux revenir les bras chargés de bouteilles, verres et autres trucs qui font grossir. L’intimité des lieux et les événements au supermarché m’ont fait oublier ma tenue, du moins je ne pense plus à l’ajuster. Le bustier s’est bien retroussé sur mon ventre et laisse voir toute sa rondeur, la partie haute ne tenant toujours que par miracle, quant au short cela fait longtemps que mes fesses en ont gobé la moitié. Fanny nous sert l’apéro à profusion, j’ai soif et je bois rapidement plusieurs verres d’un punch aussi bon que traître. Nous discutons un long moment et nos rires deviennent de plus en plus fréquents au fur et à mesure que le broc se vide. Fanny nous dit que ...

... Thierry ne devrait plus tarder puis elle s’éclipse, revient avec le pichet à nouveau rempli. Voilà plus d’une heure que nous sommes là assises à prendre l’apéro et nous commençons à être bien pompettes quand Fanny dit : — Sylvie, tu dois être jalouse que j’aie prêté des habits à Cath, faut que je t’en prête aussi.— Je rentrerai jamais dedans, s’exclame Sylvie les yeux rougis par l’alcool.— Si, si, faut le faire aussi, hein Cath ? Fanny finit par un rire aviné.— Ouais, dis-je, mais elle va t’éclater ta garde robe.— T’as qu’à dire que je suis une grosse vache. Amène ! Je suis sûre que je peux être aussi sexy que cette garce, dit Sylvie prenant un air faussement en colère. Fanny se lève d’un pas mal assuré, l’alcool l’ayant aussi fortement atteinte et alors que nous continuons avec Sylvie à parier sur ses chances, elle réapparaît. J’ai d’abord l’impression qu’elle ne revient qu’avec un collant car je ne vois que de la résille, ou une texture typique des bas et collant. — Voilà pour toi ! Fanny déplie une combinaison résille qui couvre tout, des pieds aux épaules— Je crois que t’as perdu Cath, dit Sylvie en prenant rapidement la combinaison.— C’est pas du jeu, c’est pas un habit !— Si si, c’est sexy en plus, dit Fanny— Ok, mais tu ne l’as pas encore mise. Prenant cela comme une dernière provocation, Sylvie fait glisser sa robe vers le sol. Elle ne porte dessous qu’un mince string dont l’élastique disparaît dans le repli de ses hanches. Ses lourdes mamelles sont libres de tout soutien ...