Les animaux de Priape (8)
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Priape avait tenu sa promesse. Clara fut enceinte. Elle accoucha d’un garçon et d’une fille, cette dernière étant son portrait craché alors que le garçon était très brun avec le peau très sombre, beaucoup plus que la mienne et je fis même un test ADN pour savoir s’il était bien de moi, ce qui était le cas, comme sa sœur. Son nouveau statut de grande prêtresse conféré par Priape lui-même, lui avait donné toute autorité dans le temple. Je devins moi-même acolyte de Pacôme et Aldéric. Ses pouvoirs étaient immenses. A chaque cérémonie, maintenant, elle réanimait Méfistophallos. Ils s’accouplaient dès qu’il était revenu à la vie, violemment mais brièvement. Alors, elle se métamorphosait. Elle reprenait sa jeunesse elle se régénérait, redevenait la même qu’à vingt-cinq ans, avec des attributs beaucoup plus avantageux. Puis, alors, elle dirigeait la cérémonie. Une fois par mois, à la nouvelle lune, nous assistions à un phénomène inimaginable. Devant le sattue de Priape était dressée une grande cuve de Bronze sous laquelle se consumaient des tisons ardents. Nous entourions la cuve. Clara apparaissait entièrement nue sous une grande cape couleur or. Elle coinçait le sexe en pierre de Méfistophallos entre ses deux gros seins et caressait l’organe jusqu’à ce que la statue se réveille, ce qui ne prenait pas plus de deux ou trois minutes. Méfistophallos, bavant et mouillant du bout, s’approchait alors de la cuve et y versait une poudre inconnue. Un brouillard violet se formait. Nous ...
... buvions ensuite chacun une grande rasade de ce breuvage dans un verre en or de la forme d’un sexe en érection. Puis, nous plongions dans une profonde torpeur. Lorsque nous en émergions, Clara et Méfistophallos avaient disparu. La vasque pleine d’eau nous renvoyait alors leur image aussi nette que la meilleure des résolutions sur un écran d’ordinateur. A chaque fois, ils s’étaient transportés dans un lieu différent. La plupart du temps, il s’agissait d’un vieux temple en ruines, héritage d’une civilisation disparue qui avait élevé un culte à Priape ou à un quelconque de ses avatars, dieu de la bite et du sexe. La plupart du temps, ces lieux étaient abandonnés depuis des millénaires et ma femme n’y croisait que des animaux auxquels Méfistophallos commandait avec une autorité indiscutable. Elle en vit tellement que l’on peut dire que son sexe fut à la baise ce que l’arche de Noé fut à la navigation. Tous les animaux y entrèrent. La première séance la transporta en Egypte. Elle y réveilla une statue du dieu Apis anthropomorphe avec tête de taureau. Ce n’était qu’un des multiples avatars de Priape. Dès le dieu put se mouvoir, elle l’excita en lui dévoilant sa chatte dont elle écarta les lèvres. Un protubérance qui se développait à vu d’œil sous la frêle cotonnade dont était fait le chendjit promettait de beaux moments. Ses proportions finirent par avoir raison du pauvre pagne qui se déchira libérant le gland puis toute la verge. Il arracha alors les restes de son pauvre vêtement, ...