1. Les animaux de Priape (8)


    Datte: 10/04/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... mettant son sexe et son cul à l’air et il s’attaqua directement aux nichons. La scène fut des plus torrides d’autant qu’après avoir utilisé tous les trous il se fixa un long moment dans la bouche, appréciant une pipe bien baveuse. Ma femme était installée sur un autel, allongée sur le ventre, bien face au gros nœud qu’elle pompait. Cela permit à Méfistophallos d’aller chercher un nouveau compagnon de jeu, un jeune dromadaire particulièrement bien monté. Pour le recevoir, Clara dut se mettre en levrette et je vis la grosse queue du dromadaire fendre la patte de chameau. Je n’y connais rien en plaisirs animaux mais il était visible que le camélidé y prenait un plaisir évident, de même que ma femme. Après une abondante éjaculation, le chameau se retira et Apis vint prendre la place. Quand il l’eut bien défoncée par tous les trous nous sentîmes à nouveau un engourdissement et le sommeil nous prit. A notre réveil, elle était de retour parmi nous et nous la sautions alternativement ou en groupe. Cette baise nous redonnait force et vigueur. C’était à chaque fois la même chose. A quatre reprises malgré tout, elle rencontra des hommes. La première fois ce fut en Amazonie. Ici, Priape avait pris les traits d’une statue de bois représentant un Puma et ce fut cet animal qui la saillit en présence de toute une tribu, du moins que les hommes. Tous ces gaillards, jeunes et moins jeunes la grimpèrent et l’inséminèrent à leur tour. Il y en eut bien une centaine. Elle les supporta tous sans ...
    ... aucune fatigue. Son deuxième voyage en présence d’hommes la transporta, sans nul doute, dans un vieux temple de l’Inde. Allongée sur le dos, elle reçut tous les manches en missionnaire. Les types la fourraient sans aucun ménagement attendant chacun son tour. Ils étaient plus ou moins rapides. Dès qu’ils avaient éjaculé, ils partaient et un autre prenait immédiatement la place. Quand le dernier eut tiré son coup, Méfistophallos amena un éléphant. La bite d’un mètre s’enfonça comme à l’exercice. En Indonésie, peut-être dans la jungle de Bornéo, une tribu amena un singe. Le quadrumane fut patiemment observé puis copié, toute la tribu venant se vider les couilles à sa suite dans le vagin largement dilaté. evdettun C’est en Afrique que se passa la chose la plus étrange, car, pour la première fois, Pacôme, Aldéric et moi nous fûmes du voyage. A notre réveil, nous étions tous dans une clairière au milieu de la jungle. Mais là, il n’y avait que des singes, une vingtaine de grands mâles et des femmes, pas un seul homme, que des femmes jeunes ou moins jeunes, toutes petites, aux seins lourds et en obus, à la croupe large et à la toison drue, aux lèvres vaginales épaisses et pendantes comme si elles avaient été étirées; Le mâle dominant du groupe déchira le cul de Clara comme s’il se fût agi de sa femelle. Elle ne fit pas semblant. Elle se livra sans réserve aux assauts vigoureux du singe en rut dont la taille de la bite, pourtant était minable. Comme j’en faisais la remarque à mes deux ...