1. Le Téléphone sonne, tu décroches (4)


    Datte: 10/04/2019, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, inconnu, laid(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fouetfesse,

    ... son patron, elle aimait s’exprimer crûment et ses injonctions étaient incisives. Ce langage, qui ne m’était pas familier, m’intimidait au plus haut point, me pétrifiait. Je transpirais beaucoup et mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Et pourtant, j’étais dans un état d’excitation intense. Mon trouble pouvait se voir, se sentir. J’avais l’impression que tout flottait autour de moi, j’obéissais et plus rien d’autre n’avait d’importance. J’avais la gorge serrée et le ventre noué. Mes mamelons pointaient fort en avant, mon entrejambe ruisselait de mes sécrétions. Je m’écartai un peu de la table et fis descendre la fermeture de ma jupe qui tomba au sol. Je fixai le regard de Jean-Claude en enlevant ma veste. Il se délectait du spectacle que je lui donnais. Je retirai, enfin, mon soutien-gorge, apparaissant intégralement nue devant mon public masculin. Je sentais la cravache se promener sur tout mon corps. À chaque passage sur mes seins et mon sexe, je frémissais de peur qu’elle s’abatte violemment. Christiane prit, de sa main libre, mon téton droit qu’elle fit rouler entre son pouce et son index. Sa pression était très violente et elle m’arracha un cri de douleur. Je ne bougeais pas et me laissais faire. Elle recommença plusieurs fois de plus en plus fort. Les larmes me coulaient. Mon bout devenait rouge vif et turgescent. Mon sein gauche eut droit au même traitement et curieusement la douleur se transforma en un plaisir intense et indescriptible. Ensuite, elle me fit tourner ...
    ... pour me mettre face à la table et m’obligea à poser mon buste sur celle-ci, en exerçant une poussée sur ma nuque. Jean-Claude, toujours assis, devait avoir une vue imprenable sur mes fesses et ma vulve. Une pression à l’intérieur de mes cuisses me força à les écarter et, tout à coup, un sifflement suivi immédiatement d’une douleur sur ma fesse droite me fit gémir et redresser la tête de stupeur. Un deuxième coup suivit rapidement. Ma fesse gauche subit le même outrage. Étonnement, j’y prenais plaisir et je ne retenais plus mes gémissements. Ma cyprine coulait sur mon entrejambe et elle devait le remarquer. Les coups portés n’étaient pas violents. Elle utilisait son instrument avec une dextérité confirmée et je ne ressentais que des picotements, pas de douleur. — Tu aimes ça, n’est pas ? Eh bien, tu vas encore en avoir. Couche-toi sur la table et écarte fort les jambes que je voie ton sexe bien ouvert. Je m’exécutai. Je frissonnais de partout et je prenais de plus en plus de plaisir. Les yeux fermés, j’étais dans l’attente. Mon excitation était plus forte que la peur. La cravache siffla de nouveau et s’enfonça sur mes seins, ensuite mon ventre, mon pubis et l’intérieur de mes cuisses. J’allais à la rencontre des coups, je soulevais mon bassin, j’écartais plus fort les cuisses et les bras. Je me donnais à ma maîtresse. Puis ce fut le silence. Je sentis ses mains glisser sur mes seins. Elle se mit à les malaxer et elle recommença à presser les bouts très fortement m’arrachant des ...
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