1. Le Téléphone sonne, tu décroches (4)


    Datte: 10/04/2019, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, inconnu, laid(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fouetfesse,

    ... machinalement, j’entrepris de la remonter, doucement. La cravache suivait l’ascension du tissu. Je la sentais effleurer l’intérieur de mes cuisses et, quand mon sexe fut découvert, elle se posa sur ma fente pour se caler entre mes grandes lèvres et ne plus bouger. Tous les quatre avaient les yeux rivés sur mon sexe pratiquement épilé. — Mais tu as l’air d’aimer ! Tu es complètement inondée. Regardez-moi ça comme elle prend son plaisir. Écarte les cuisses ! J’obéis et il fit tourner sur elle-même la badine flexible en appuyant assez fortement sur ma vulve qui ruisselait. Cela me faisait un peu mal et étrangement, j’étais au bord de la jouissance. Je ne tenais plus ma jupe que d’une main, car j’avais besoin de l’autre sur la table pour me maintenir en équilibre. Mes gémissements l’encourageaient à continuer et il y ajouta des petits mouvements circulaires précis qui irritaient, à chaque passage, mon clitoris devenu très sensible. Je baissais la tête pour mieux observer. Soudain, une onde de plaisir m’envahit, un cri strident sortit de ma gorge. Je fus foudroyée par un formidable orgasme. Mes jambes s’écartèrent davantage, je portai mon bassin en avant pour appuyer l’action de la badine, je pressai ma main sur mon ventre, je hurlai sans retenue mon plaisir qui était décuplé par cette exhibition forcée. J’espérais qu’il continue, mais il s’arrêta et se tournant vers Christiane lui donna un ordre avant même que je puisse récupérer. — Aide cette petite dame à se déshabiller. Dans ...
    ... un brouillard, je la vis se diriger vers moi et en arrière-fond, à quelques pas, je pouvais apercevoir le chauffeur qui avait sorti son sexe du pantalon et qui se flattait doucement en m’observant. J’étais résignée et mon orgasme m’avait profondément secouée. Christiane prit en main la cravache que lui tendait Jean-Claude. Je ne savais pas ce qu’elle envisageait de me faire subir, mais j’attendais avec un amalgame de peur et d’excitation. Je lâchai ma jupe pour mettre mes deux mains en arrière sur la table. Je la fixais presque par provocation. Elle devait être stimulée par la scène précédente. Son regard était à la fois dur et enflammé. J’y percevais une lueur de désir qui me déstabilisait. Elle approcha son visage, lécha rapidement mes lèvres, et s’écarta en souriant. Puis elle recommença plusieurs fois. J’étais un peu décontenancée. C’est la première fois qu’une femme m’aborde de cette façon et je n’éprouvais, à mon grand étonnement, aucun dégoût. Finalement, j’écartai mes lèvres et ma langue alla à l’encontre de la sienne. Je ne quittais plus sa bouche et nos langues s’enlacèrent dans un long baiser passionné. Les hommes nous regardaient dans un silence électrique. Samba commença à se dévêtir et Philippe s’astiquait un peu plus vite. Dans un souffle, elle me chuchota à l’oreille : — Maintenant, tu te déshabilles lentement. Je veux te voir à poil devant tout le monde. Je veux jouer avec ton corps et te voir jouir. Je sais que tu aimes et tu vas pouvoir en profiter. Comme ...
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