1. Le Téléphone sonne, tu décroches (4)


    Datte: 10/04/2019, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, inconnu, laid(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fouetfesse,

    ... qui m’avait été faite dans la voiture. Quelque chose de malsain et de pervers émanait de cet homme. En effet, je sentais son regard appuyé, presque inquisiteur, dans mon décolleté que je savais très attractif et quelque peu provocateur. Jamais un homme ne m’a maté de la sorte, j’étais gênée et je me sentais humiliée, car j’avais l’impression, une intuition typiquement féminine, qu’il me considérait comme une proie, une femelle en chaleur à la merci d’un mâle en rut. Je me sentais toute bizarre et, paradoxalement, sans que ce soit volontaire, je commençais à mouiller sérieusement. Je ne pouvais expliquer ma réaction pour le moins absurde, mais ce qui était une certitude c’est cet amalgame d’émotions qui m’envahissait peu à peu comme la peur, la soumission, l’excitation, l’attente et l’envie que quelque chose se passe. Un serveur vint prendre notre commande, cela m’a permis de me détacher, pour un temps, de mes pensées devenues persistantes. Les hommes commençaient à discuter fermement des termes du contrat et pour le peu que je pouvais entendre, Samba avait beaucoup de difficultés devant les exigences de Jean-Claude qui devenaient de plus en plus précises et tournaient toujours autour du même sujet. Cet homme me faisait peur et me fascinait à la fois. Pourtant, physiquement il est laid et obèse, il transpirait beaucoup et empestait le cigare. Mes pensées revinrent me tourmenter et sentant toujours son regard sur ma poitrine, j’essayais de lui en montrer le maximum soit en me ...
    ... penchant un peu en avant soit en me tournant légèrement de profil. Je baissais les yeux surtout pour ne pas croiser son regard, mais également en signe de soumission et cela me faisait plaisir. Je devenais folle, j’étais dans un état d’excitation que je ne pouvais plus contrôler. Il m’avait ensorcelée et je m’offrais, inconsciemment à lui. Samba n’en pouvait plus et ne trouvait plus de nouveaux arguments. Je sentais que la signature, tant désirée, nous passait sous le nez. Je pensai à Éric et au boulot que Samba risquait de perdre. Et c’est à ce moment précis qu’un coup de théâtre eut lieu, car je me suis entendue dire à haute voix et en m’adressant directement à Jean-Claude : — Et si j’étais le cadeau, tout simplement ! Il y eut un blanc dans la conversation, un coup de genou de Samba et un sourire malicieux de mon voisin d’en face qui avait immédiatement compris quel parti il pouvait tirer d’une telle proposition. Je n’en revenais pas de ma suggestion, mais je savais que mes propos ne dépassaient pas ma pensée et que c’était, réellement ce que je voulais. J’étais morte de peur, mais j’assumais ma décision. Samba me regardait avec les mêmes yeux exorbités qu’il avait quand il m’a vu la première fois nue. Il se tut et préféra écouter ce qui allait se dire. Je regardais fixement Jean-Claude qui m’adressa directement la parole pour la première fois de la soirée. — Que voulez-vous dire, chère petite Madame ?— Vous comprenez bien ce que j’ai voulu dire. Apparemment vous aimez les ...
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