Le Téléphone sonne, tu décroches (4)
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
couleurs,
extracon,
cocus,
inconnu,
laid(e)s,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fouetfesse,
... jolies femmes et si vous signez les devis, je m’offre à vous.— Pourquoi feriez-vous une telle chose alors que vous n’êtes qu’une employée et probablement une femme mariée ? Je voudrais connaître vos raisons.— À vous de deviner !— Alors, je vous dis ce que je crois. Vous êtes la maîtresse de votre employeur et vous feriez tout pour lui être agréable. Je suis certain qu’il n’est pas au courant de votre proposition et que vous ne lui en soufflerez pas un mot. Cependant, il y a un os, n’est-ce pas ! Et cet os c’est votre collaborateur, ici présent, qui ne manquera pas de tout lui rapporter. Comment allez-vous vous y prendre, s’il vous plaît ?— Je dois vous avouer que je n’y avais pas pensé et je ne trouve pas de solution. Cependant, je tiens parole et ma décision est prise.— C’est très bien, chère petite Madame. J’ai une solution pour vous qui, je pense, vous conviendra. Vous devinez mon âge et vous devez bien penser que j’ai perdu de ma vigueur. Alors, je signe les contrats, si vous vous faites baiser devant moi par votre voisin de table. C’est la seule manière d’acheter son silence. Qu’en pensez-vous ?— Je suis d’accord.— J’en suis ravi. Je vais donc vous expliquer comment je vois le déroulement des événements prochains et à partir de ce moment aucune discussion ne sera plus acceptée, ni aucun compromis. Vous m’entendez bien, j’espère ?— Je vous entends bien et j’accepterai toutes vos exigences. Comme je vous l’ai signifié, je m’offre totalement à vous. J’étais sur un nuage. ...
... Je m’entendais parler. Je réalisais, également, que je ne pouvais plus reculer et je n’en avais aucune envie. J’écoutais ce gros monsieur qui semblait à l’aise et se préparait à passer une bonne soirée. J’étais tiraillée entre la peur de ce qui allait se passer, on a toujours peur de l’inconnu, et l’exaltation de la situation que j’avais provoquée. Je transpirais, j’avais très chaud et je sentais ma chatte détrempée. — Chère petite Madame, à partir de cette minute, vous m’obéirez. Je vous veux totalement soumise et je veux vous l’entendre dire.— Je vous obéirai et je vous suis totalement soumise.— Très bien ! Nous allons terminer notre repas et ensuite nous prendrons la direction de mon garage afin de signer les devis qui se trouvent dans le tiroir de mon bureau. Après la signature des documents, vous vous ferez baiser par notre ami, Samba. Je ne ferai que regarder, mais je veux du spectacle et je sais que vous serez à la hauteur. Les dés étaient jetés. Jean-Claude alla payer l’addition et, pour la première fois depuis que j’avais pris la parole, Samba réagissait. — Tu es tombée sur la tête ou quoi ?— Pas du tout ! Tu n’es pas content, peut-être ? Tu vas pouvoir me baiser à ton aise, nous avons les contrats signés et tu gardes ton boulot.— Je ne sais pas si c’est une bonne solution et, de plus, je me demande si je parviendrai à bander en présence d’une tierce personne.— Ne t’inquiète pas à l’avance ! C’est mon problème.— Tu as l’air sûre de toi. Ce gars-là n’est pas un tendre. ...