Ma première fessée
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
médical,
collection,
fsoumise,
Oral
fsodo,
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Bonjour Monsieur le Webmaster, j’ai consulté votre site hier soir. Dés l’âge de 16 ans, j’ai pris des amants. J’ai connu le plaisir de suite. Je n’aimais pas les relations durables. Je jouissais toujours abondamment. J’ai testé toutes sortes de fantasmes. Je me suis régalée. J’ai toujours aimé être prise en levrette ou agenouillée ou penchée en avant (très significatif déjà). Et j’aime mieux qu’on me caresse le dos et les fesses. Et aussi qu’on me les pétrisse. Je suis devenue infirmière par la suite, diplômée à 19 ans. Je rêvais souvent qu’un homme, jamais une femme, me fessait couchée en travers de ses genoux, d’abord habillée puis déculottée. J’avais essayé avec certains de mes copains. Mais, peu le faisaient bien, peu en avaient envie. Bref, j’étais restée sur ma faim. Un jour, à l’âge de 24 ans, j’ai rencontré un jeune chirurgien de 35 ans, qui faisait trembler le service où je travaillais alors. Je venais d’être nommée surveillante très récemment. Il était le chef de ce service. Il était sévère, stricte, maniaque. Tout le monde le redoutait. Il ne mâchait pas ses mots, il terrorisait les élèves infirmières et les internes en leur posant des questions difficiles. Et s’ils répondaient faux, il leur enlevait des points sur leur notation de stage ou de cours. Dés qu’il passait la porte du service en faisant claquer ses sabots de bloc, tout le monde se mettait au garde-à-vous. Il fallait que les opérés aient leur pansement propre, prêt à être ôté, que le service soit ...
... rangé. Ne parlons pas des dossiers qui devaient être impeccablement rangés dans l’ordre qu’il avait instauré, et être à jour. En salle d’op, il balançait au sol les instruments mal tendus, ou les plateaux chirurgicaux mal préparés. Vous voyez le style. À mon niveau, je devais avoir les stocks à jour, je ne devais manquer de rien tant en équipement, matériel, personnel, ses rendez-vous de futurs opérés devaient être bien programmés, le téléphone toujours disponible pour lui, enfin tout devait être clean, accessible, prêt. Le premier jour où je prenais mon service comme surveillante, nous avons fait la tournée ensemble afin de parler des entrées attendues, des sorties, de la vie du service. Il me dictait les ordonnances, les modifications de traitement. Quand la visite a été finie, il m’a demandé de le suivre dans son bureau. Ça ne présageait rien de bon. Il s’est assis derrière son bureau, ne m’a pas proposé de le faire et m’a regardé gravement. Je me sentais comme une élève convoquée chez le directeur. J’étais mal à l’aise. — Vous êtes la surveillante du service. Vous devez montrer l’exemple. Je n’admets pas que vous ayez des tâches de stylo sur vos poches d’uniforme. Quant à vos cheveux, je veux les voir impeccablement arrangés. Je portais alors une énorme tresse qui m’arrivait à mi dos. Quelques mèches s’échappaient à la base de la tresse. J’ai toujours eu les cheveux indisciplinés. Quand j’étais élève infirmière, j’étais obligée de mettre un maximum de barrettes fines pour les ...