Xanths (1)
Datte: 11/04/2019,
Catégories:
Erotique,
... de grande (très grande) taille sur le sol et essayai de me l’enrouler autour de la poitrine. Ce fut un échec, je finis par déchirer les feuilles. Tant pis, je devrais utiliser mes mains pour cacher mes seins et mon intimité. Complètement désorientée, je me dirigeai vers ma droite : j’avais cru entendre des bruits d’oiseaux. Peut-être que je trouverais une trace de civilisation qui sait ? J’en profitai pour essayer de repérer le terrain : la végétation était luxuriante, assez haute et très dense, si bien qu’elle m’obligeait à écarter les branches au niveau de ma tête pendant que les hautes herbes me frôlaient le buisson. Cela m’excitait malgré moi, chose incompréhensible ; point positif : j’en oubliais mon stress. Plutôt radical comme technique, même si elle me mettait mal à l’aise. Je marchai un petit quart d’heure avant de débouler sur une plage, et de tomber à genoux : où étais-je ? Le sable était doux, très chaud (agréable au niveau des pieds), mais rien à perte de vue. Ni à gauche, ni à droite, aucune construction humaine, rien. Je me sentais complètement abandonnée. Je me mis en marche pendant plus de deux heures, en plein soleil (ça aussi c’est agréable par contre). Complétement perdue dans mes pensées, longeant la rive sans rien trouver. J’aperçus de grandes montagnes au loin en bordure de l’eau et décidai de m’y rendre pour peut-être y trouver un point de vue. D’un coup quelque chose attire mon attention : je crus entendre un bruit depuis la forêt. Ayant l’impression ...
... que quelque chose approchait, je décidai de partir me cacher derrière un arbre. Bien cachée par les branches, je m’accroupis pour ne pas me faire repérer. Des frissons me transcendèrent. Sorti de la forêt, un petit bonhomme bleu, presque violacé, 1m30 maximum, poilu et en surpoids avec un maillet sur le dos. Lui aussi était nu, son gland trainait par terre (ses jambes semblent complètement atrophiées), tout en tapant un bon vingt centimètre. La bête était immonde, certainement pas humaine. Mais où étais-je ? Il jeta des regards à droite à gauche, avant d’aller boire (Sérieux ? Ce n’est pas de l’eau de mer ?). Je me fis toute discrète, à quatre pattes, vérifiant régulièrement derrière moi pour ne pas me faire surprendre. A ce moment-là j’avais mal calculé la menace, en même temps comment aurais-je pu savoir ? J’ai d’abord senti de petites herbes s’enrouler autour de mes poignets, puis ce fut le tour de mes mollets. J’avais été tellement concentrée sur l’espèce de troll d’en face que je n’y avais pas fait attention. Prise de panique, j’ai d’abord essayé de m’en débarrasser en tirant dessus, avant de me rendre compte que mes réactions risquaient d’attirer l’autre. Une branche a craqué sur ma droite, et je me suis baissée par réflexe. Grave erreur : mon vagin est entré en contact avec la mousse sur laquelle j’étais et qui me tenait en otage. Enfin mon vagin… juste les poils de mon carré brésilien, mais ça a été suffisant pour que je ne puisse plus m’en décoller. J’ai regardé avec ...