Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (19) : avec Marie, domination et plaisir.
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... pas longtemps, pour toute réponse il lui appuie sur l’épaule et présente sa bite toute tendue. C’est la caresse que je préfère pratiquer avec Philippe et nous n’avons rarement commencé une journée sans que je m’offre le plaisir de lui vider les couilles et d’avaler son nectar. Je la pratique sur lui aussi souvent que je le peux, que ce soit en voiture, au cinéma, sur un parking, au restaurant. Je ne m’en lasse pas et je n’ai jamais apprécié de voir une autre pratiquer cette caresse sur lui (le soir de notre mariage, la vision de Christine en train de lui tailler une pipe avait provoqué ma colère et mon adultère) C’est donc plus que je ne peux en supporter : • Non, pas ça, je ne le permets pas ! Rachid m’arrête et me maîtrise. • Tu seras punie pour ça ! Mais ça me plait de voir jalouse et crois-moi, tu n’as pas finie de l’être. Je te ferai pleurer des larmes de sang ! Marie fait tomber sa jupe et écarte sa culotte pour pouvoir atteindre sa chatte. Je vois les yeux de Marie s’ouvrirent grands, sans perdre de temps elle s’accroupit les jambes grandes ouvertes et happe la queue de Philippe qui, sous la caresse, gémit de plaisir. Elle le suce goulument tout en se branlant vivement. Je dois reconnaître que le spectacle est excitant au plus haut point. Philippe joue le jeu et se régale. Il fait des compliments sur la plastique de Marie et lui dit qu’elle suce super bien. Elle lui lèche le gland, lentement, puis serre ses lèvres pour forcer sur son gland. Elle fait pénétrer bien au ...
... fond de sa bouche. Comme moi, Marie adore sucer, ça se voit que sa bouche est une bouche à pipes. Le sexe de Philippe était dur. Ma rivale lui astique le manche pendant plusieurs minutes tout en le branlant et en lui caressant les couilles doucement. Par moment il lui prend la tête et pousse dessus pour que ça aille vraiment loin. D’un seul coup il n’en peut plus et jouit, envoyant plusieurs giclées dans la bouche de Marie, qui n’en perd pas une goutte. Elle se redresse, triomphante, puis se dirige vers moi, me prends dans ses bras, force mes lèvres, pour partager avec moi ce qu’elle n’a pas avalé. Je la remercie d’avoir partagé avec moi le nectar de mon mari. • Vous aimez le goût de son sperme, Madame ? Moi j’en raffole ! • Il sera bientôt seulement à moi, j’ai voulu partager un peu avec toi. Notre baiser se prolonge, elle sent mon désir et me calme brutalement en griffant mon dos avec ses ongles. • Je te plais, on dirait, sale petite gouine. Je sais décidément ce que tu aimes et ce qu’il te faut ! Le diner reprend son court. Marie se montre très gentille, presque chatte avec Philippe, avec qui elle sort le grand jeu. Elle lui demande de venir l’embrasser. Philippe s’enhardit, ses mains passent dans le décolleté de Marie et il prend à pleines mains ses seins opulents. • Hum, chéri j’adore quand tu me touches, surtout devant elle. Elle sait maintenant ce que c’est que de se faire humilier, d’être trompée en sa présence. Dis-moi, Philippe, tu as envie de moi ? • Oui, j’ai envie ...