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La mère de Jean (12)
Datte: 12/04/2019, Catégories: Divers,
... toutes les deux, un côté attachant qui plaisait à Adèle. Elles nageaient autour de la nouvelle, sans dire un mot et la tache noire du bas de maillot de Jacqueline jurait avec la nudité des deux elfes qui semblaient planer sur l’élément liquide. Les jeux de mains, les rires recommencèrent dans cette masse liquide, porteuse de bien des espoirs. Il faisait bon dans le bain et la rousse en profitait. Maintenant les deux nanas l’avaient serrée entre leurs deux corps. Et quatre mains frôlaient son épiderme, sans vraiment pour le moment s’intéresser à ses parties les plus intimes. Non ! Elles caressaient la peau, errant sans but précis, juste pour en jauger l’élasticité et la texture. — Tu es très belle. C’est doux et tu es… un bijou. — Merci Nath. Mais je vous trouve très… attirantes aussi toutes les deux. Pourquoi tu ne t’es pas mise nue aussi toi Jacqueline ? — Ah ! Ah ! Ça, ma belle… s’est… et puis non je ne te dis rien… tu verras par toi-même, ce sera mieux. — Bon ! Ma foi ! Vous avez de la chance de pouvoir profiter de votre piscine… vous vous baignez souvent ? — Pratiquement tous les jours ! C’est un délassement quotidien. Mais nous aimons aussi les massages et nous avons ce qu’il faut pour cela. Ça te dirait que nous te massions ? — À quatre mains ? Nathalie et moi pour te donner des tas de sensations nouvelles… Allez on s’y colle ? Elles étaient toutes ressorties de l’eau et se séchaient avec des draps en éponge. Puis chacune des deux maitresses de maison empoigna un bras ...
... de leur invitée. Ainsi elles l’escortèrent jusqu’à la table de cuir où elles la firent s’étendre sur le ventre. L’une d’elles installa les bras d’Adèle le long de son corps, alors que l’autre lui écartait les jambes en tenant ses deux pieds. La rousse eut soudain l’impression qu’elle offrait ainsi ouverte, une vision plutôt impudique de son corps. Sous son visage, une sorte de cercle vide permettait qu’elle garde la tête bien droite. Alors, lentement les deux femmes firent couler sur elle des liquides aux senteurs prononcées. Puis Nathalie penchée au-dessus de ses épaules commença une singulière danse de ses mains sur sa nuque et ses épaules. Quant à Jacqueline, la femme couchée ne pouvait la voir. Mais elle sentait que ses petites mains fines parcouraient ses orteils pour ensuite se laisser dériver vers ses chevilles. C’était divin ! Un concerto à quatre mains en caresses majeures. Et les doigts s’enfonçaient sans lui faire mal dans sa peau, allant et venant, se croisant parfois à l’orée de ses fesses. Agréable massage qui dura très longtemps. Puis une tape sur le postérieur et une invitation à montrer le côté face et Adèle subissait de nouvelles escapades des mains affolantes. Mais celle fois elle pouvait suivre les moindres mouvements de chacune de ses hôtesses et se rendre compte du plaisir qu’elles prenaient à la tripoter partout. Lorsque les deux masseuses rejoignirent leurs mains, celles-ci se trouvaient au niveau du pubis ensoleillé d’Adèle. — Une vraie rousse… ça ne ...