Début de soirée - Histoires de Sexe

Début de soirée

... tu veux. Ils me dévorent tous des yeux. En jetant un regard circulaire dans la salle, Carole s’aperçoit qu’Aude n’a pas complètement tort. Il n’y a pas plus d’une dizaine de personne, mais la plupart ont les yeux rivés sur elle. — C’est surtout qu’ils se sont certainement aperçus du changement. Cela doit les étonner. Remarque ! S’ils te regardent, c’est qu’ils apprécient le spectacle. Tu devrais te sentir flattée.— Bon, allez ! On s’en va !— Quoi, tu n’aimes pas être le centre d’intérêt ?— J’avoue que cela me fait bizarre. Je suis moins gênée que je ne l’aurais cru.— Fais attention. Si tu y prends goût, cela peut devenir dangereux. Et je sais de quoi je parle.— Aurais-tu encore des choses à m’apprendre sur toi ?— Peut-être… Mais chaque chose en son temps. Poursuivons notre shopping ! Voilà, le récit que me fait Carole dans la voiture s’arrête pratiquement là. En effet, elle me précise juste que cette seconde mi-temps de shopping a été assez mouvementée, en tout cas plus qu’avant la pause, mais sans m’en dire beaucoup plus. Elle termine en me citant seulement les derniers mots qu’elles s’échangent lorsqu’elles se quittent en fin de journée : — Merci Carole, pour cette journée très agréable, et des plus surprenantes.— Pas trop choquée par tout ce que tu as appris sur moi.— Un peu au début. Mais, finalement, u m’as fait découvrir des nouvelles choses. J’ai plutôt bien rigolé… même si on a failli se fâcher pour de bon.— Mais non. Tu ne t’es même pas aperçue que je blaguais.— ...

... Quoi ! File d’ici, avant que je ne t’arrache ta robe. Je n’en saurai pas plus pour l’instant. Il reste bien des zones d’ombre ; et notamment ce qui s’est passé au cours de cette fin d’après-midi. À faire les magasins, l’une sans culotte sous sa courte robe, l’autre les seins libres sous son léger chemisier, je me dis qu’elles doivent avoir quelques petites choses à raconter. Peut-être en apprendrai-je un peu plus le soir même. *** Carole a à peine terminé son histoire que nous arrivons à proximité de l’appartement d’Aude. Elle habite un vieil immeuble bourgeois en plein centre-ville : un appartement par étage, un bel escalier en bois, de grands balcons côté jardins, avec même pour l’appartement du dernier étage, celui d’Aude, une terrasse d’environ 30 mètres carrés. À cette heure-ci, nous n’avons aucun mal à trouver une place pour garer la voiture devant chez elle. Avant de descendre, j’embrasse Carole en lui disant que j’ai trouvé son histoire très troublante. Commençant à bien la connaître, je glisse, par la même occasion une main curieuse vers son sexe. J’y trouve la confirmation que le récit de ses petits jeux ne l’a pas laissée insensible. Nous nous dirigeons vers l’immeuble, Carole sonne à l’interphone tandis que je suis derrière elle, une marche plus bas. Dans l’attente de la réponse, je l’embrasse dans le cou. Mon bras gauche est autour de sa taille, et ma main droite se dirige tout naturellement vers ses fesses ; sa jupe étant plutôt courte, je lui mets les fesses à ...