1. Je suis resté bouche bée (10)


    Datte: 21/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Il fait nuit, il est trois heures du matin, et je transpire. Je me revois encore une fois soumise dans le salon d’esthétisme avec Aldo, Eric, Monsieur De Gonzac et le chien en train d’échanger un plaisir charnel que je n’oublierai sans doute jamais. D’un parce que j’ai pris un pied énorme, et de deux parce que j’ai découvert une pratique que j’aurais trouvée scandaleuse il y a encore quelques mois, mais qui finalement m’a plu. Je repense aussi à cette photo que mon amant a envoyée sur le portable de Sofiane, il s’agit ici d’une vengeance personnelle, mais d’après les dires de Monsieur De Gonzac cette sensation, ce besoin s’est transformé en sentiment d’amour. Ses pratiques sont certes peu catholiques, entre l’échangisme, le caudaulisme, et quelques dérapages zoophiles, mais ces dernières m’ont totalement transformé. Je me sens femme, je me sens désirée, et ce n’est pas rien. Je ne suis plus ce vulgaire bout de viande a qui ont fait l’amour, ou que l’on baise juste pour l’hygiène, mais parce que je suis devenue fatale, et certainement belle ou plutôt désirable aux yeux des hommes que j’ai rencontrés jusqu’à maintenant. J’essaye de me rendormir, mais c’est quasiment impossible. Heureusement, que je suis en week-end sinon je n’aurais pas tenu la journée à la boutique. Il est maintenant sept-heures du matin, je vais dans la cuisine, me fait un café, prends une tartine de pain puis m’étale de tout mon long dans le canapé afin de regarder la télévision. Il n’y a pas grand-chose ...
    ... d’intéressant, du coup, je me rendors quelques instants, enfin presque deux heures, puisque je suis réveillé par Sofiane. Ce dernier n’a pas desserré les dents depuis hier soir. Nous nous disputons à nouveau, il n’y a plus de retour possible. Je lui explique pourtant qu’il m’a trompé plusieurs fois, que ce n’est pas normal, mais rien n’y fait. Il fait sa victime alors que depuis que nous sommes ensembles, je lui ai quand même permis de s’amuser afin qu’il calme sa libido, mais aussi son envie de plaire, mais il ne perçoit pas cette tolérance de la même manière en ce qui me concerne. Pour lui, j’aurais dû rester la femme docile, le genre qui reste à la maison pendant que le coq part s’éclater. Sauf que je ne le vois pas de cette manière-là. Il est à présent, onze heures, il doit partir à la salle de sport. Il quitte la maison en claquant la porte. De mon côté, je m’empresse de prendre mon téléphone afin de téléphoner à mon amant afin que l’on se donne rendez-vous quelque part. Il me propose le bord du lac où se trouve le restaurant japonais. Je valide ce choix. Je me prends une douche, m’habille de façon classique avec un débardeur et un jean puis me maquille légèrement. À midi trente, j’entends le ronronnement de sa voiture, il se gare, sonne, puis nous partons. Durant le premier quart d’heure, le silence est pesant dans le véhicule puis je me lance. L’interroge sur le pourquoi du comment il a pris la décision d’envoyer la photo sur le téléphone de Sofiane. Ce dernier me parle ...
«1234»