Je suis resté bouche bée (10)
Datte: 21/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... dentelle ainsi qu’une cravate. Il m’invite à aller l’essayer au sous-sol. J’ouvre le rideau, entre dans la cabine d’essayage, puis commence à me déshabiller puis met la tenue. Monsieur De Gonzac me trouve très charmante. Je me regarde dans une glace et effectivement je suis réellement sexy. Il me propose de me l’acheter, j’accepte. Quand soudain, il m’invite même à sortir ainsi et à laisser mes anciens vêtements sur place. Nous remontons, il paye, puis nous quittons le lieu. Les hommes que nous croisons dans la rue ne cessent de se retourner à mon passage. Cela flatte l’égo de mon amant puis il me propose d’aller au cinéma. Je trouve l’idée plutôt romantique, donc je valide son choix. Nous parcourons quelques kilomètres en voiture, nous arrivons devant cet endroit qui s’appelle curieusement, l’endorphine. Monsieur De Gonzac prend deux tickets aillant un nom de film à consonance italienne, sans doute un rapport avec la musique classique, ou avec un film d’histoire. Lorsque nous entrons dans la salle obscure, il n’y a que des hommes, dix ou douze peut-être qui me reluque de la tête au pied. Nous nous asseyons pratiquement au milieu de la pièce puis nous patientons quelques instants. Il y a bien entendu les premières publicités qui apparaissent sur l’écran, et je suis assez surprise puisque ces dernières parlent de vibromasseur, de plug anal, et de lubrifiant. Je demande à mon amant où est-ce que nous sommes. Et il me répond sur le ton humoristique qui le caractérise bien que ...
... l’on est au cinéma. Les premières images défilent, et le doute que j’avais s’avère réel, puisque ce n’est pas un film normal, mais bel et bien d’un porno. Je souris bêtement en voyant ceci et commence par la même occasion à avoir le bas de mon ventre qui chauffe de désir. Monsieur De Gonzac tente une première approche en posant sa main sur mon genou nu, remonte petit à petit jusqu’à la lisière de mon sous-vêtement puis caresse mes lèvres gonflées. Je me mords les lèvres, il se rapproche de mon oreille, et me propose d’enlever le haut de ma tenue, du moins la veste. Ce que je fais sans aucune hésitation. La chemisette blanche que je porte, illumine la pièce à chaque image claire, il déboutonne petit à petit cette dernière. Me voilà maintenant en soutien-gorge. Je retrouve à présent ce sentiment d’adrénaline qui me rend complètement folle. Il continue son jeu de séduction, mais aussi d’excitation dans le même temps puisque sa main est à présent dans mon string. Il caresse mes lèvres, titille mon clitoris et me pénètre avec un ou deux doigts. Je m’affale sur le fauteuil pour lui faciliter l’accès à mon puits d’amour. Il semble apprécier cette initiative, puis continue de fouiller mon vagin malicieusement. Entre les images et l’action, je pousse des soupirs d’excitation. Au bout d’un certain temps, je commence même à grogner. Monsieur De Gonzac se lève légèrement, baisse son pantalon et son caleçon afin de sortir son membre. Comme d’habitude, il est dans une forme olympique. Je ...