La quarantaine épanouie avec un jeune amant épanouissant...
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
confession,
... doute sur son propre plaisir pris. Le temps s’est arrêté je veux que cette langue me fasse gémir et jouir, je ne retiens pas mon envie d’exprimer ce plaisir et je le récompense en m’exprimant sans retenue. J’en veux plus et je sens qu’il prépare la suite. Haletante et n’en pouvant plus, il remonte son visage vers le mien et vient m’embrasser avec fougue. Sa langue a le goût de ma chatte, mon odeur sur lui, dans sa bouche m’excite au plus haut point et je lui dis : j’adore qu’on m’embrasse après ces caresses intimes. Je mouille encore plus de sentir l’odeur un peu forte de mon sexe sur un visage, une langue, dans ces moments je me sens chienne et libidineuse. Je sens son sexe raide et tendu sur ma chatte, et c’est assez terrible de le sentir bander aussi fort pour moi. Je lui demande de prendre un préservatif, je n’ai pas envie de prendre de risque. Il se lève et j’ai tout loisir d’admirer ce jeune corps, ces fesses fermes et ce sexe terriblement érigé de plaisir : rien de plus plaisant, flatteur et excitant que de voir un homme debout, bandant et tendu de plaisir avec une queue de belle taille qui ne demande qu’à être sucée, caressée et prête à me pénétrer. Il déchire l’emballage, je l’observe encapuchonner son sexe, tellement tendu qu’il a du mal à le faire glisser. Il s’approche le regard fixé sur mon intimité et me pénètre progressivement. Je sens son sexe forcer légèrement l’entrée, partagée toujours entre un peu d’appréhension de ne pas être assez détendue et d’avoir ...
... mal, mais follement excitée de ce moment si cru où l’autre introduit son sexe au plus intime, sensation si particulière, moment tellement fort, où l’on se livre totalement l’un à l’autre sans plus aucune barrière. Il commence à aller et venir, doucement d’abord, profitant de mon humidité qui le fait coulisser avec facilité. Je le sens s’activer, j’ouvre davantage mes jambes pour que la pénétration soit plus profonde, il m’embrasse et s’écarte à nouveau pour accélérer le rythme. Son sexe me pistonne de plus en plus fort, de plus en plus vite, j’accroche mes jambes à ses hanches, je vis le moment et en même temps je n’en reviens pas que ce jeune homme soit aussi excité par la quarantenaire au corps abîmé que je suis. Je suis tour à tour excitée, impressionnée, flattée, et je le veux au fond de moi, plus fort, il semble le sentir et s’active encore plus fort, plus profondément. Je relève les jambes par-dessus ses épaules pour que la pénétration soit encore plus profonde. C’est tellement bon, je le sens dur et impératif, excités l’un et l’autre, moi mouillant encore plus, lui me pistonnant durement et sans plus de ménagement. J’admire son endurance, le moment dure encore, de longues minutes, le temps s’est arrêté, je l’encourage avec force de gémissements, je l’encourage en lui demandant d’aller plus vite plus fort, haletante. Nous nous embrassons à nouveau, nos langues se mêlent toujours cherchant l’humidité dans nos sexes, dans nos bouches. Changeant de rythme, je le repousse sur ...