1. Le voyage de Mathilde


    Datte: 16/06/2017, Catégories: f, ff, hotel, train, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation

    ... pas compte. — Pouvez-vous m’appeler un taxi ? Il s’esquive et revient après quelques instants. — Le taxi vous attend. Je le gratifie d’un large sourire accompagné d’un joli pourboire. Il me regarde, baisse les yeux vers mon décolleté, rougit un peu et articule difficilement un merci ému. Je monte dans le taxi, ouvrant largement les cuisses, et lui laisse admirer ma chatte béante et humide. Je ferme la portière. Arrivée à l’hôtel, je m’installe dans une chambre coquette mais simple et sans apparat inutile. Je ferme la porte, dépose mes valises et me rends à la salle de bain. À ce moment, on frappe à la porte. J’ouvre doucement et une jeune femme apparaît. — Excusez-moi, je venais voir si vous ne manquiez de rien. Je suis la femme d’étage. N’hésitez pas à sonner si vous avez besoin de quoi que ce soit. Elle attend mes ordres, ce qui me donne le loisir de la détailler. Assez grande, l’œil vif, les seins ronds et haut placés, elle porte avec élégance sa tenue de travail. La courte jupe noire à volants découvre les jambes très haut tandis que le corsage blanc se gonfle des seins dont les pointes assez grosses paraissent sous le tissu. Elle m’impressionne par son calme et son sourire. — Pouvez-vous m’aider à prendre un bain ?— Je peux vous le faire couler, si vous le désirez. Pour le reste, je pense ne pas avoir beaucoup de temps à vous consacrer. Je dois m’occuper de faire le ménage dans les autres chambres.— Ce n’est rien, ajoutai-je en entrant dans la salle de bain. Elle me ...
    ... suit, ouvre les robinets pendant que je me déshabille rapidement pour entrer dans une grande baignoire ronde où l’on peut facilement se mettre à deux. Je le lui fais remarquer. Elle sourit, reste debout à me regarder. Je saisis le savon et entreprends de me laver en faisant courir mes mains sur ma peau. J’insiste sur mes seins puis descends lentement vers mon sexe que je caresse doucement. La demoiselle ne cesse de me regarder et je me rends compte que mon manège commence à lui faire de l’effet. Elle se mord les lèvres et sa main se pose sur un sein qu’elle se met à caresser d’abord puis à en triturer le mamelon déjà bien gonflé et qui perce à travers le fin tissu de son corsage. Je lui souris et elle me rend mon sourire. Elle s’esquive, quitte la salle de bain, revient presque aussitôt, ôte ses chaussures et entreprend de me rejoindre. Dans son mouvement, elle écarte largement les cuisses. Elle vient d’ôter sa petite culotte et j’ai tout le loisir d’admirer une légère toison rousse et une longue raie rose vif d’où s’échappent des petites lèvres légèrement violacées. Je détourne mon regard et tente de me concentrer sur mon bain. Peine perdue, ma main s’insinue entre mes cuisses écartées et mes doigts câlinent mon clito qui ne demande qu’à se libérer de sa gaine, avide de caresses. La jeune fille fait glisser sa jupe puis passer sa blouse par-dessus la tête. Elle m’apparaît nue comme Vénus sortant de l’onde. Quels seins ! Deux jolis pamplemousses surmontés d’un mamelon en forme de ...
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