1. Le voyage de Mathilde


    Datte: 16/06/2017, Catégories: f, ff, hotel, train, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation

    ... crois apercevoir une petite rougeur lui colorer le visage. Je resserre mes jambes, masquant le petit chat sur le point de s’éveiller. Distraitement, je regarde le paysage défiler, comptant les ondulations que font les fils entre les poteaux téléphoniques. Je sirote mon jus de fruit, touche un peu au pain au chocolat et au croissant, grignote un toast. Je n’ai pas la tête à rire. Ai-je bien fait de fuir comme une voleuse ? Je quitte la table et retourne dans mon compartiment. En arrivant, il me faudra aller à la banque : je suis partie presque sans argent et je dois vivre le temps de décompresser et de trouver un travail. Je m’étends pour réfléchir à ce que je vais faire de ces jours de solitude. Le train ralentit puis s’arrête. Bayonne. J’ouvre la fenêtre et me penche un peu. L’air frais du matin me fouette le visage et le ciel d’un bleu parfait m’éblouit. Je me sens ragaillardie. Encore un quart d’heure et je serai à Biarritz. Ouf ! Je réalise pleinement que je suis libre. Libre de faire des folies, libre de m’envoyer en l’air à chaque occasion, libre surtout de ne plus penser qu’à moi pendant ce séjour salvateur. Je me prépare et sors mes bagages dans le couloir. Un employé se précipite et s’en empare. — Ne vous fatiguez pas, Madame, je m’occupe de vos valises.— Mais je ne descends pas. Je vais à Biarritz. Il repose les bagages, se confond en excuses. Je le remercie d’un sourire. Je me penche vers mon sac, mon geste ouvre largement mon décolleté sur mes seins libres. ...
    ... L’employé jette un coup d’œil furtif, rougit et détourne la tête. Je fais semblant de rien, enjambe ma valise et m’accoude contre la fenêtre du couloir. Je regarde la foule défiler sur le quai. Un coup de sifflet et le train repart lentement. Je regagne mon compartiment, m’allonge sur la banquette de velours vert. Je me sens bien. Sans m’en rendre compte, je laisse ma main remonter doucement sur ma cuisse, relever ma robe courte et s’arrêter sur ma fourche poilue. Mon médius s’insinue dans ma fente, remonte à la recherche du petit bouton rose. Tiens ! Il est déjà gonflé, et pourtant je ne lui ai encore fait aucune caresse. Mon doigt se mouille de cyprine. Je le porte à ma bouche et le lèche. J’aime ma liqueur ambrée, onctueuse, légèrement salée. Je sens la chaleur monter dans mes reins quand le train ralentit. Vite, je rabats ma robe, me relève et sors dans le couloir au moment où le train s’arrête. Tout de suite, l’employé, qui manifestement m’attendait, se précipite, prend ma valise et mon sac et traîne le tout jusqu’au bout du couloir. — Je ne vous ai pas oubliée, dit-il.— Merci beaucoup.— C’est un plaisir pour moi d’aider une jolie dame avec de si belles jambes ! ajoute-t-il, un sourire en coin.— Vous me flattez… Il me pilote sur le quai jusqu’à la sortie. Un petit air frais me court sur les jambes, et comme je n’ai pas de culotte, il s’infiltre entre mes cuisses. Il fait friser ma toison, rafraîchit la fente échauffée par mes caresses. Je frissonne mais le porteur ne s’en rend ...
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