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La Gestionnaire (5)
Datte: 13/04/2019, Catégories: Trash,
... au nœud. Une fois dénouée, la ceinture tombe. Charlotte maintient l’imper fermé avec ses deux mains. — Tu n’as pas le droit de toucher avant la maison... OK ? — OK ! Lentement elle sépare les deux pans de l’imper. Dans l’interstice, la peau blanche de Charlotte apparaît. Puis brusquement, elle ouvre en grand le vêtement. Les bras largement écartés, je découvre la nudité totale de ma maîtresse. Elle est splendide, nue contre ce pilier. — Tu es superbe... — Merci... — Tu sais qu’il y a de nombreuses caméras de surveillance et que les vigiles doivent se rincer l’œil en ce moment... — Salaud... Elle referme tout aussi vite son imper. — Allez, viens vite ! Nous montons dans sa voiture. Nous sortons du parking. Charlotte s’arrête pour payer. Elle tend son ticket au préposé. La barrière se lève aussitôt. Charlotte interroge : — Combien vous dois-je ? — Rien merci, vous avez déjà payé... — Je n’ai rien payé à l’entrée... — Non mais dans le parking, oui, chapeau pour la tenue... bravo monsieur, vous êtes un chanceux... J’enchaîne : — Merci Messieurs... nous vous en ferons profiter à chaque fois... Nous partons vers la maison. Pendant que nous parlons de chose et d’autres, à un feu rouge, Charlotte me prend la main. Elle la dépose sur sa cuisse. — Tu m’as dit que je n’avais pas le droit de toucher... — J’ai trop envie... Je glisse ma main par l’échancrure. Je touche la chair chaude des cuisses nues au-dessus de la lisière des bas. Les cuisses s’écartent naturellement. Elles me ...
... laissent le passage vers d’autres contrées plus chaudes encore et plus intimes. J’atteins le nirvana. Charlotte tout en conduisant écarte ses cuisses. Elle veut que je la touche. Mes doigts arrivent vers sa chatte. Elle est toute nue, épilée de frais. Mon index trouve rapidement mon bourgeon dressé, humide. La première caresse fait resserrer les cuisses violemment. La voiture fait un écart sur la route étroite. Une fois de nouveau sur le droit chemin, Charlotte se relâche encore. Les cuisses s’amollissent et s’ouvrent de nouveau. Tout en gardant le pouce sur la crête rouge et sensible, de deux doigts je pénètre l’antre humide. Charlotte soupire. Elle respire très fort. Elle serre convulsivement ses cuisses puis les relâche. Elle gémit tout en se pinçant les lèvres. — Arrête ou je vais jouir ici et je ne garantis plus rien concernant la trajectoire de la voiture. Mes deux doigts s’enfoncent encore plus dans la chair molle et accueillante. Je ne bouge plus. Nous entrons dans son village. La maison est à cent mètres. Charlotte actionne la télécommande du portail. La Mini s’engouffre dans la cour et se glisse vers la porte du garage. Il s’ouvre automatique lui aussi. Charlotte arrête le moteur, met le frein à main et se jette sur moi. Les cuisses largement écartées, l’imper ouvert en grand elle se frotte contre moi. Elle tire sur les pans de ma chemise au risque de faire sauter tous les boutons, tire ma cravate sur le côté, s’acharne sur la ceinture de mon pantalon plonge une main ferme ...