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La Gestionnaire (5)
Datte: 13/04/2019, Catégories: Trash,
... et décidée dans mon slip pour chercher mon sexe. Il est là et déjà tout congestionné. Charlotte plonge et l’embouche. — Doucement... gardes-en pour tout à l’heure... elle ne devrait pas partir... Charlotte est insensible à mon humour. Elle pompe énergiquement ma queue. Son ardeur est forte et je ne sais pas si je vais pouvoir tenir longtemps à ce rythme. Mes doigts fouillent son intimité. Elle est béante et se laisse faire. Elle accepte toute pénétration, tout massage et toutes les caresses que je lui prodigue. Charlotte est une vaillante. Elle pompe de plus en plus fort ma queue tendue. Ma sève monte. La petite salope, elle se déchaîne, je ne vais pas pouvoir me retenir pendant très longtemps. Ma bite se contracte. Les jets de sperme blancs fusent. Charlotte a avalé au plus profond de sa gorge mon membre. Elle avale consciencieusement. Elle a la bouche pleine et elle a des difficultés à déglutir. La source de sperme se tarit. Elle finit de tout avaler. Elle toilette amoureusement mon sucre d’orge. Elle me le rend propre comme un sou neuf et luisant de salive. Elle se lèche les lèvres pour ne pas en laisser une goutte. Alors elle se redresse et elle niche sa tête au creux de mon épaule. — Merci, c’est très bon... j’aime ton sperme, j’aime te boire... je suis une vraie salope, non ?? — Oui je te le confirme. — On monte... Nous quittons la chaude ambiance de la Mini pour l’appartement plus vaste. — Les chaussures que tu m’as achetées me font souffrir. Je n’ai pas l’habitude ...
... d’en porter d’aussi hauts. Le bruit de ses talons claque dans l’escalier de bois. La hauteur des talons l’oblige à se déhancher. Ses fesses chaloupent sous l’imper. Je ne résiste pas à l’envie de passer ma main sous le vêtement. Je trouve son cul tout chaud. Mon index se glisse entre ses fesses. Nous arrivons en haut. Charlotte s’appuie sur la porte. Elle se cambre, offre ses fesses à la caresse. Je lui claque son derrière. — Méchant... — Menteuse, tu dis ne pas aimer mais tu en veux toujours plus... — C’est vrai, j’aime bien quand tu me fesses... Nous entrons. Charlotte pose son imper dans la penderie. Je lui tends mon manteau. Je vais au salon. Je mets de la musique. Charlotte arrive, nue. Elle arbore fièrement le collier de cuir que je lui ai offert. La laisse métallique pend entre ses seins. — Je te plais, mon Maître adoré... — C’est très bien... — Je te sers ton apéritif favori ? — Si tu veux... Charlotte se dirige vers le meuble bar. Elle garde les jambes bien droites et se penche en avant. Elle se montre. Elle me montre son cul et sa chatte. Elle fabrique mon drink, toujours penchée, le torse à l’horizontale. Elle se tourne pour me faire admirer ses seins qui tombent à la verticale. Ils sont somptueux. Elle se relève. Ils restent toujours droits, agressifs. Elle me tend le verre et s’installe à genoux sur le tapis en face de moi. — Tu ne prends rien ? — Non, je vais t’offrir un cadeau... Je reste coi. — Ce n’est pas mon anniversaire... — Erreur, Maître adoré, cela fait ...