1. Petits plaisirs accordés à Bébert


    Datte: 21/08/2017, Catégories: f, fh, hplusag, hsoumis, fdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, fgode, nopéné,

    ... jamais un mec peut me donner ça, je vais jouir, ouiii encore, oui ah ahh ouiii aah aaahaha ouiii AAHHH. Son corps est soulevé par une jouissance énorme qui la remplit complètement. Elle vibre, se tord sur ce gode en bois qui jamais ne débande comme ça arrive aux meilleurs amants. À plat ventre, elle continue d’en profiter et loin de s’apaiser, elle devient frénétique sentant monter en elle un deuxième orgasme tout aussi fort qui la prend dans les minutes qui suivent son premier. Elle vibre, gémit, son lit couine sous l’effort mais elle s’en fout. Elle veut jouir et elle jouit comme cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps. Plusieurs minute, heures, siècles, elle ne sait plus, elle s’écroule en gémissant sur le lit, épuisée, heureuse, le gode toujours enfoncé en elle. Elle s’endort comme cela et c’est l’appel de Bébert qui la réveille. — Je suis là Marie-Claude, houhou. Tu es rentrée ? Elle se secoue péniblement et émerge d’un sommeil si profond qu’elle ne se souvient que de ce bonheur qui l’a envahi, submergé, terrassé. — Euh oui, je suis là. Elle veut bondir du lit mais étouffe un gémissement, le gode est toujours là mais son vagin s’est un peu tétanisé dessus et cela lui a fait mal. — Un problème, tu veux que je monte.— Non non, surtout pas, je me prépare, tu n’as pas le droit de monter, va dans le jardin et attends-moi. Elle file sous la douche avec son gode, et elle s’imagine être un mec. Cette pensée la fait sourire mais lui donne aussi une idée. Elle se voit avec ...
    ... son gode en train d’enculer Bébert. Oui, ça c’est une idée. Sa chatte vibre un peu ce qui a le don de décoincer le gode avec un petit bruit de sussion. Elle se précipite sous la douche pour se nettoyer un peu, se réveiller surtout et se faire une beauté du diable. Elle redescend une heure après, moulée dans une jupe noire sans rien dessous et un chemisier jaune pâle sans rien dessous aussi. Elle s’avance vers Bébert qui la regarde la bouche ouverte. — Eh bien ferme ta bouche, tu vas manger des moustiques. Bonne journée ?— Ah tu es belle, que tu es belle Marie-Claude, je t’aime, j’ai envie de toi tu peux pas savoir.— Si si je sais, il suffit de regarder ton pantalon. La bosse qu’il fait est intéressante.— C’est pour toi, je te l’offre prends-la, attache-moi si tu veux mais prends-la, je n’en peux plus. Prends-la, je t’en prie.— Eh bien eh bien, tu ne m’avais jamais fait ce coup-là. Mais tu ne l’as pas encore mérité et, de toute façon, va te laver et à l’eau froide uniquement, ça te calmera, non mais. Bébert part en courant et bientôt la douche froide lui coule dessus. Il se frictionne, se lave à fond et ses mains glissent sur sa queue que l’eau froide a passablement détendue. Elle reprend vite de la vigueur mais il s’arrête aussitôt. Non il ne doit pas, il jouira en défonçant la chatte de Marie-Claude seulement. Euh, à moins que Marie-Claude ne le force à se branler. C’est elle qui décide. Cette pensée l’agace et lui plaît aussi. Il est ensorcelé. Tant pis, c’est tellement bon ...