Petits plaisirs accordés à Bébert - Histoires de Sexe

Petits plaisirs accordés à Bébert

... aussi. Cette jeune fille tombée du ciel comme qui dirait, il la veut mais il sera patient. Il attend son heure. Peu après, il sort de la salle de bain, ragaillardi par sa douche froide ce qui, après tout, n’était pas une si mauvaise idée. Marie-Claude regarde son Bébert, propre comme un sou neuf, non comme un Euro c’est plus à la mode. Il a mis des habits propres et bien repassés, par lui-même d’ailleurs. — Bien, je vois que tu as fais des efforts, tu es sur la bonne voie. Tu deviens civilisé et je vais peut-être changer d’avis à ton sujet. Mais ce n’est pas pour tout de suite, rassure-toi ! Ce n’est pas fait pour le rassurer, car il a le sentiment qu’elle peut le faire attendre comme cela des mois, voire des années. — Merci Marie-Claude, j’ai bien droit à une petite récompense, non ?— Et c’est quoi pour toi une récompense ?— Ben, l’idéal serait, de passer la nuit avec toi. Tu vois ce que je veux dire ?— Parfaitement vieux satyre, mais pour me faire l’amour il en faudra bien plus que ça. Il faut que je sois sûre que tu as changé de comportement.— Voyons Marie-Claude, ma princesse, mon amour, j’ai changé grâce à toi, tu le vois tous les jours.— Oui je sais, mais, imagine que je parte pour deux mois.— Tu ne me ferais pas ça, Marie-Claude, non pas ça.— Eh ! Sait-on jamais ? Une envie de soleil subite, un beau mec qui passe et hop, je pars.— Non, non pas possible. Bébert est écroulé, il n’avait jamais imaginé que Marie-Claude pouvait partir, surtout pour un autre. Dans sa grande ...

... naïveté, il avait imaginé la garder pour lui tout seul. Mais c’est vrai qu’une belle fille comme elle ne devrait pas toujours se contenter d’un guignol comme lui. Il est désespéré. — Alors mon Bébert, fais pas cette tête, on n’est pas marié alors, toi aussi tu peux me jeter quand tu veux. Après tout, je vis à tes crochets.— C’est vrai, mais je t’aime moi.— Allez ne dit pas de conneries, Bébert, tu veux me sauter oui, ça c’est sûr, mais ce n’est pas de l’amour. Allez, viens ici. Il s’approche d’elle, la tête basse, ses envies sont toujours là, mais la branlette va rester son pain quotidien. Marie-Claude se colle à lui, ce qui a le don de lui rendre le sourire immédiatement. Elle se frotte à lui mais, dès qu’il veut la toucher, elle se rebiffe et le repousse. — Mets tes mains dans tes poches et laisse-moi faire. Elle reprend ses caresses, du body body tout habillé. Elle sent que Bébert s’excite et elle voit la bosse de la braguette s’amplifier. Elle continue en dégrafant deux boutons de son chemisier ce qui laisse voir largement ses deux seins si beaux et si doux à caresser. Elle ouvre encore son chemiser et finit par le retirer sous le regard médusé de Bébert. C’est une première. Il bande comme un fou et sa queue lui fait mal. Marie-Claude le sent mais elle continue à l’exciter en passant ses seins partout sur le corps de Bébert. Devant, derrière, c’est une ronde sans fin qu’elle achève à genoux devant sa braguette. — Ohhhh oui mon ange, suce-moi s’il te plait, j’en ai envie ...