1. Prémices


    Datte: 14/04/2019, Catégories: f, fh, couple, extracon, cocus, telnet, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, init, extraconj, internet,

    ... et que ce genre de spectacle le rendait fou. Angélique insista : comment faisait-elle, qu’utilisait-elle ? Il lui parla du gode, elle ne savait même pas que ce genre d’accessoire pût exister. Elle finit par lui dire d’en acheter un, pour voir à quoi cela pouvait ressembler. Il le choisit énorme, quitte à se défoncer le con autant que ça en vaille le coup. Elle rit en le voyant, lui demanda s’il n’y en avait pas de plus petit. Elle le rangea dans la garde-robe. Il lui aurait bien demandé de l’essayer, mais sa culpabilité ne lui permettait pas une telle audace. Il préférait attendre qu’elle lui en reparle. Quinze jours s’écoulèrent. C’était le printemps 1998, les rues étaient festoyées de bleu-blanc-rouge, la France allait gagner la coupe du Monde de football mais personne ne le savait encore. Un soir de match, Angélique laissa Éric seul devant la télévision et se retira dans sa chambre, située à l’étage de leur maison, pour lire. Il n’était pas étonné, elle n’avait jamais aimé le football. À la mi-temps du match, il sortit sur la terrasse pour fumer une cigarette et en profita pour prendre le téléphone afin d’appeler un copain et d’échanger leurs impressions footballistiques. Curieusement, la ligne était déjà prise. Il finit tranquillement sa cigarette et monta à l’étage afin de savoir si la conversation de sa femme, avec sa maman pensait-il, allait durer encore longtemps. La porte de la chambre était fermée et il pouvait entendre de bien bizarres gémissements. Intrigué ...
    ... il s’approcha et posa son œil sur la serrure ; ce qu’il vit le chamboula complètement. Angélique, à genoux sur le lit, la jupe relevée aux hanches, déculottée, les deux seins sortis des bonnets de son soutien-gorge blanc, avait enfilé le monstrueux gode tout au fond de sa moule et se la ramonait de la main droite tandis que de la gauche elle parlait au téléphone. Il toucha sa bite au travers de son jean. Quinze secondes plus tard il éjaculait dans son slip. Il continua à la regarder se défoncer le con, elle avait coincé le téléphone sous son menton et se pinçait les tétons tout en enfonçant le bâton de latex dans sa moulasse qui coulait de sa mouille blanche comme jamais lui-même ne l’avait fait couler. Il la vit jouir en direct, ses cuisses tremblant tandis qu’elle se traitait de salope vicieuse. Éric hésita mais décida de ne rien faire. Il regarda sans bien comprendre la seconde mi-temps, puis alla se coucher. Il la trouva profondément endormie, nue, sa fente encore gonflée et ouverte du gode qui l’avait défoncée. Il la trouva très belle, se masturba en pensant au spectacle et jouit sur son ventre. Demain serait un autre jour. Le lendemain fut un jour de soleil. Éric partit travailler, sa jeune épouse dormait encore, il n’osa pas la réveiller, car il craignait autant qu’il espérait une explication. Toute la journée l’image de sa salope de femme lui trotta dans la tête tandis qu’il essayait de se concentrer sur son travail. Le soir elle l’attendait souriante, elle avait, ...