1. Prémices


    Datte: 14/04/2019, Catégories: f, fh, couple, extracon, cocus, telnet, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, init, extraconj, internet,

    ... disait-elle, tondu la pelouse et fait une sieste tandis que leur fils unique, déjà enrégimenté à la maternelle voisine, y faisait probablement la sienne. Il la regardait différemment, mi-désireux mi-jaloux de cette expérience qu’elle avait vécue la nuit précédente et dont il avait été le témoin. Elle l’interrogea sur le match de football de la veille, lui demanda à quelle heure il s’était couché. Il répondit en souriant, sans mentionner son escapade à l’étage tandis que les joueurs étaient au vestiaire. Par malice, il lui demanda si sa mère allait bien, lui confessant qu’il avait souhaité la veille utiliser le téléphone et, constatant qu’il était occupé, ayant déduit qu’elle s’entretenait avec elle. Elle mentit à la perfection. Plusieurs jours passèrent ainsi. Ils firent une ou deux fois l’amour mais, contrairement à son habitude, Éric jouit très vite car il ne pouvait chasser de sa mémoire l’image de la cochonne remplie par son gode. Angélique de son côté ne fit aucun commentaire sur cette soudaine épidémie de quasi-éjaculations précoces, ce qui rendit Éric fort perplexe, habituée qu’elle était qu’il la besogne jusqu’à ce qu’elle jouisse. De son côté, Angélique avait senti le vent du boulet lorsqu’il avait évoqué le coup de fil de la nuit fatidique ; non qu’elle eût imaginé ce qui s’était réellement passé, mais plutôt en considérant qu’elle avait pris d’inutiles risques en jouant à ce jeu téléphonique le soir, alors que son mari était dans la maison. Elle avait décidé ...
    ... de cesser ses jeux nocturnes, et avait reporté sur ses longues après-midi solitaires, alors que son mari était au travail et son fils à l’école, ses nouvelles occupations de petite putain. L’arrivée du gode dans sa vie avait été une révélation. Après l’avoir bien rangé dans la garde-robe, honteuse et amusée en même temps, le bâton de latex n’avait plus quitté son esprit. Pendant plusieurs jours elle avait lutté, son éducation puritaine aidant, se disant qu’elle n’était pas de ces filles qui jouent à se remplir le con en solitaire. Mais le démon avait gagné, et un après-midi, s’étant déshabillée pour faire la sieste, et comme elle ne parvenait pas à s’endormir dans cette chambre où elle avait rangé l’engin de bonheur, elle s’était décidée à le prendre afin de, se disait-elle, le faire courir sur sa peau nue, sans plus. Mais les bonnes résolutions sont vaines lorsqu’on est une cochonne, fût-ce une cochonne qui s’ignore. Quelques minutes à manipuler la queue synthétique avaient fait se dessiner sur sa culotte de coton une auréole de cyprine incroyablement large, et maintenant son abricot était tellement mouillé que le tissu de la culotte était comme une seconde peau qui dessinait les deux côtés de sa vulve autant que si elle eut pissé dedans. Sans encore ôter sa culotte, il ne lui fallut que quelques secondes pour se remplir. Elle en profita pour faire déborder ses nichons de ses bonnets et, mue par une inspiration soudaine, quitta le lit et s’allongea devant le miroir de la ...