1. Police xstory (1) - l'intégration de Charlotte (1)


    Datte: 14/04/2019, Catégories: Hétéro

    Police xstory (1) – L’intégration de Charlotte Marie-Charlotte du Plessis-Lacourt était issue d’une vieille famille aristocratique, dont elle faisait le désespoir. C’était une jolie brune de 26 ans, aux yeux d’un bleu acier. Elle était de taille moyenne, avec un corps mince et ferme, de beaux seins ronds aux petites pointes saillantes, une chute de reins affolante, et de longues jambes fuselées. A l’adolescence, sa libido s’éveilla et son goût pour la sexualité la porta vers des expériences nombreuses. Elle avait beaucoup de succès, et elle enchaînait les aventures, autant avec des garçons qu’avec des filles, sans que faire la fête altère ses résultats scolaires. C’était une élève brillante, dotée d’une mémoire impressionnante, et une sportive accomplie. Pour elle, ses parents envisageaient des études à sciences po ou HEC, et un brillant avenir dans le monde des affaires, où son père avait de solides relations. Mais Marie-Charlotte n’avait qu’une idée: intégrer la police. Le bac avec mention très bien en poche, elle décida de s’inscrire en fac de droit, au grand dam de ses parents. En deuxième année, elle rencontra Arthur, un beau professeur trentenaire, dont elle tomba follement amoureuse. A partir de ce moment, elle se rangea, et n’eut plus d’yeux que pour son amant. Leur liaison dura plusieurs années, mais Arthur tomba sous le charme d’une autre femme, et rompit avec Marie-Charlotte. Cette rupture la plongea dans un chagrin terrible, et elle se jeta dans le travail et ...
    ... le sport, pour tenter d’oublier son amour perdu. Elle engrangea les diplômes, en droit, en langues, en psychologie, et décrocha aussi un titre de championne régionale de karaté. Pendant ce temps, sa vie amoureuse se limitait à des rencontres nombreuses mais sans lendemain, dont le seul but était de satisfaire sa libido volcanique. Enfin, elle postula pour passer les concours et intégrer la police, son rêve d’adolescente. Le niveau qu’elle avait atteint était tel qu’elle écrasa les autres concurrents, lui permettant ainsi de choisir son affectation. Parmi les propositions, une la tentait particulièrement. Il s’agissait d’un poste au sein d’une unité créée récemment, la BRCS (brigade de répression de la criminalité sexuelle). Ses motivations étaient ambiguës: si elle avait réellement envie de lutter contre des dérives qui la révulsaient, elle espérait aussi retrouver dans son action le piment d’une sexualité débridée. Au vu de son dossier, la commissaire Léa Gestin, à la tête de cette brigade, accepta volontiers sa candidature. Compte tenu des méthodes de travail qu’elle voulait imposer dans son unité, l’arrivée d’une femme jeune, jolie et déterminée ne pouvait que la satisfaire. Léa avait 37 ans. C’était une femme très belle, à la courte chevelure auburn, et son physique était très loin de celui qu’on imagine pour la chef d’une équipe de policiers. Plutôt grande et sportive, on devinait sous sa tenue stricte une poitrine ferme et un corps bien proportionné, et ses yeux verts ...
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