Police xstory (1) - l'intégration de Charlotte (1)
Datte: 14/04/2019,
Catégories:
Hétéro
... prit quand même le temps d’admirer sa toute petite toison taillée en ticket de métro. Lise dégrafa la ceinture de Charlotte, et la débarrassa en un tour de main de son jean et de sa petite culotte, dévoilant son mont de Vénus entièrement épilé. Manifestement, toutes les deux pratiquaient le bronzage intégral… Charlotte partit à l’exploration du corps de sa coéquipière, dont la respiration s’accélérait, appréciant la fermeté de ses fesses cambrées. Elle glissa sa main entre ses cuisses, et y trouva une fente déjà humide. Lise répondit aussitôt à ses caresses, jouant avec les pointes dardées des seins de Charlotte, et les premiers gémissements des deux femmes s’élevèrent dans la pièce. D’une poussée, Charlotte amena Lise contre la table, et la souleva pour l’asseoir dessus. Celle-ci se pencha en arrière en prenant appui sur ses bras tendus, et passa ses jambes autour du cou de Charlotte, qui plongea la tête entre les cuisses largement ouvertes. — Tu veux que je dévore ta petite chatte ?, lui demanda-t-elle. — Oui, oui, vas-y, répondit Lise, mais tu ne perds rien pour attendre. La bouche de Charlotte se posa sur sa chatte. Lise frémissait de plaisir sous ses petits baisers légers, et elle sa cabra quand elle sentit la langue qui se glissait dans sa fente. Charlotte savourait la cyprine qu’elle recueillait sur la pointe de sa langue, chaque fois qu’elle s’insinuait à l’entrée de sa grotte. Puis, en remontant, elle trouva le petit bouton de Lise, sorti de son fourreau. Lise ...
... poussa un cri à ce contact, et ses jambes serrèrent plus fort le cou de Charlotte. Cette dernière enfonça un doigt, puis deux, dans la fente trempée, et les plaintes de Lise redoublèrent. Derrière la glace sans tain, Léa Gestin, le capitaine Bertrand, et la psy de la brigade suivaient la scène. Les deux femmes étaient placées de telle façon qu’ils avaient une vision totale de ce qu’elles faisaient, et les micros répartis dans la salle d’interrogatoire leur permettaient de ne rien perdre de leurs paroles et de leurs cris. Jérôme Bertrand, malgré son expérience et son professionnalisme, avait du mal à rester insensible à ce spectacle: les deux femmes étaient très belles, leur érotisme l’excitait, et la proximité de la commissaire – qu’il avait toujours eu envie de baiser – n’arrangeait rien. Surtout que, de l’autre côté du miroir, Charlotte se cambrait et avait glissé une main entre ses cuisses, pour se masturber, offrant à son regard sa fente luisante de mouille. Elle avait envie de se faire bouffer aussi la chatte, elle n’en pouvait plus. Elle se redressa, prit la main de Lise, et la fit allonger sur le matelas. C’est à ce moment que deux hommes rentrèrent dans la salle d’interrogatoire. L’un était Ludovic Savignac. Grand et athlétique, blond aux yeux bleus, il faisait partie de l’unité d’infiltration, et Charlotte avait fait sa connaissance pendant ses premières semaines de travail à la brigade. L’autre s’appelait Thierry Paillet. Originaire de la Réunion, il était membre d’une ...