Le Tableau - Troisième partie
Datte: 21/08/2017,
Catégories:
fhh,
cérébral,
intermast,
préservati,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
couple+h,
... Yann m’a dit que sa peinture serait effacée dans un jour ou deux. Mais je veux que vous sachiez que je ne suis plus la même : je crois que, dès que ma vraie peau apparaîtra, je n’aurais jamais plus besoin de vous… Que préférez-vous ?— J’ai eu envie de toi toute la journée, je ne peux plus attendre, dit Yann.— Tant pis pour la peinture, de toute manière, nous ne pouvons pas te tatouer, n’est-ce pas, dit Ben. Je compris que ces deux-là se parlaient plus qu’ils ne me parlaient. Je n’étais peut-être qu’un truchement, pour leur relation. Mais ils avaient choisi, me semblait-il. — D’accord, je me donne pour cette nuit à vous. Mais dès demain, quand je me serai lavée et que plus rien ne sera visible, je m’en irai.— Tu me quittes ? Ben ne me parlait bas, mais sa voix trahissait une vraie émotion. J’eus presque pitié de lui, mais j’avais compris que cet homme ne m’aimait pas vraiment : il m’utilisait pour son plaisir. Là, je le laissais avec Yann, la première personne pour laquelle il éprouvait une réelle admiration. Je ne doutais pas une seule seconde que ces deux hommes allaient ensemble poursuivre l’œuvre commencée avec moi. Ils utiliseraient d’autres femmes. Yann les peindrait, Ben les « vendrait », je ne sais pas quel moyen, peut-être des photos, ou des expositions forcément privées. Je n’avais été que le déclencheur de leurs fantasmes. Ils m’avaient tous deux, sans le savoir, libérée de leurs empreintes sur moi. C’est donc tout à fait librement que je les pris par la main, ...
... je me suis installée sur les coussins et les tissus : ils se dénudèrent, vinrent s’allonger de part et d’autre. Dès qu’ils furent près de moi, je pris les deux queues dans mes mains : je reconnaissais la dure tige de Ben, mais c’était la première fois que je sentais le long sexe de Yann, embouché d’un gland ovoïde et attirant… Les deux hommes, pendant que je les branlais lentement, passaient leurs mains sur mon corps, en laissant échapper quelques paroles : — Regarde, Yann, regarde : la couleur de ses seins change, à chaque fois que les pointes se durcissent, puis s’apaisent…— Oui, Ben, mais le plus beau est ici. Et j’ouvris les jambes, pour que les deux hommes admirent ma vulve parée et qui les attendait, humide, chaude, et comme désignée pour les jeux sexuels les plus osés. Ils me prirent tous les deux, d’abord l’un en levrette pendant que je suçais l’autre, puis en intervertissant leurs places. Je sentais la chaleur de mon corps, et mes orgasmes successifs, changer le dessin de Yann. Je demandais alors aux deux hommes d’aller chercher un miroir, afin que je puisse, moi aussi, profiter de cette « œuvre d’art » qu’était le changement irisé des couleurs de ma jouissance. Devant le miroir, ils me prirent tous deux « en sandwich », Yann dans mon cul et Ben dans mon con. J’étais comme soulevée par leurs deux sexes qui bougeaient à la même mesure, mais ce qui me fascinait le plus, c’était de me regarder jouir, dans le miroir – car je brûlais d’un tel feu que tout mon corps se ...