1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (20)


    Datte: 16/04/2019, Catégories: Trash,

    ... spécialement, mais vous avez fait opérer ma fille qui avait déjà plus de poitrine que moi. « Oui, Thomas adore les gros seins. Moi, j’aime comme tu es. « Je suis petite, mince, je n’ai rien d’un mannequin. « Je t’aime comme tu es. Les yeux de Sandrine s’embuèrent en voyant ces mots. Ce n’était pas réellement une déclaration d’amour, mais ce n’en était pas loin. Elle posta son formulaire dûment complété et attendit la suite des événements. Une semaine plus tard, Lenoir lui envoya un fichier joint, accompagné de ces simples mots « bien reçu ». C’était le contrat d’esclavage. Un contrat par lequel Sandrine se remettait corps et âme à Arnaud Lenoir. Elle lut attentivement le court document, imaginant les conséquences. Elle devait liquider ses avoirs et tout donner à son Maître : elle ne possèderait alors plus rien, pas même son propre corps. Elle serait entièrement à sa charge, à son service, au plus bas de l’échelle sociale. Sandrine retint un énorme soupir. Elle savait ce qu’elle allait faire : elle allait signer ce satané contrat et l’envoyer à celui qui allait devenir son Maître. Le 28 février, Sandrine gara sa petite Renault dans l’allée de la maison de Lenoir. Il l’attendait devant la porte, comme elle le constata en sortant de la voiture ; d’une démarche incertaine elle s’approcha de lui. Il pleuvait à verse mais elle resta tête nue, se balançant d’un pied sur l’autre. — Bonjour, me voici, Monsieur. J’ai dans la voiture tout ce que je possède. — Déshabille-toi, petite ...
    ... pute. Donne tes vêtements au fur et à mesure. Il brandissait un grand sac-poubelle bleu ; Sandrine ne mit pas longtemps à comprendre : il voulait tout jeter, faire table rase de son passé. Soit. Malgré la pluie, malgré le froid, elle sourit tout le temps qu’elle se dévêtit. Entièrement nue, elle croisa stoïquement les mains dans le dos et attendit le bon-vouloir de son Maître ; sa peau battue par la pluie se couvrit de chair de poule, ses tétons durcis pointant vars le haut. Puis Lenoir s’écarta. — Entre, je ne veux pas que tu attrapes la mort par ma faute. File dans la salle de bain et prends une douche bien chaude, ça te fera du bien. Puis rejoins-moi dans le salon. — Bien Monsieur. Merci. Ma fille... — Elle fait un stage et ne rentre pas avant 19 heures. Et elle travaille beaucoup, cette petite. bzlboocv Sandrine opina et passa en trombe, recevant au passage une bonneclaque sur ses petites fesses. Elle glapit mais ne ralentit pas pour autant. Elle resta longtemps sous le jet d’eau presque brûlante, et pourtant elle frissonnait toujours en entrant dans le séjour où Lenoir l’attendait, assis confortablement dans son fauteuil habituel. Elle était nue, bien sûr, et il put admirer son corps gracile complètement offert. En effet, d’elle même Sandrine s’était positionnée comme il lui avait appris : face à lui, jambes largement écartées, mains sur la nuque, tête bien droite. — Alors, tu vas bien, ma petite pute ? — Oui, Monsieur. Très bien. Et vous ? se hasarda-t-elle à demander. — ...