1. Intérim


    Datte: 17/04/2019, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail volupté, Oral ecriv_f,

    ... ; il glisse sa langue entre mes lèvres, salive beaucoup… J’écarte plus les jambes, il me dévore ! Il se relève, me retourne, et je le vois enfin ; son visage a changé, ses yeux sont enfiévrés, ses narines frémissent, mais, comme un taureau enragé, il garde toujours sa grâce, celle qui me subjugue… Il me prend sous les fesses, me soulève sur un mètre ou deux, jusqu’au plan de travail en inox, va pour m’y asseoir. — Attention, ma petite fleur, ça va être froid…— …Oh non, je sais que ça va être chaud.— Tu es ma délicieuse petite fleur, je veux te butiner encore… Il passe la tête entre mes cuisses et me goûte plus fort ! Je gémis, impossible de faire autrement… Et pendant un long moment il joue avec mes nerfs comme ça, et me laisse au bord du gouffre à chaque récidive… Il me rend folle, et je veux sa bite ! — Prends-moi, je t’en prie ! Est-ce bien moi qui dis ça ? Je me redresse pour le toucher, pour le caresser. Il m’embrasse fougueusement, et je sens mon goût sur sa bouche. Pourquoi cela aussi m’excite-t-il tant ? Moi qui refuse mes odeurs, moi qui ne m’aime pas, il parvient à me donner tant de confiance ; je me sens désirable, presque… belle ? Il me veut comme je suis, moi Flore, et je me fous du reste ! Son jean le serre, mais il a attendu patiemment, ne l’a pas déboutonné… Je le fais et en sors sa verge superbe. Je la caresse un peu et le regarde réagir… Il est beau… Je l’embrasse dans le cou alors qu’il a penché sa tête en arrière… Je le tiens plus fort… Je m’agrippe à ...
    ... lui, m’assois au bord du meuble en métal, et m’empale sur sa queue. — Oh Flore… tu es trop bonne…— … Je n’ai jamais… ho, je te ressens si fort ! Cela ne dure que quelques minutes ; il va-et-vient jusqu’au bout de moi, me prend entièrement, mieux que personne ! Bientôt, je ne sais plus où s’arrête son corps, où commence le mien, tout n’est que sensations, plaisir… Sa bite grossit encore, ou bien est-ce moi qui me resserre plus… A ce moment précis, j’aurais bien voulu mourir ! Il me lime très fort, je gueule, je mouille, je vis… je jouis ! Mon orgasme déclenche le sien… Il emplit mon ventre, me comble, et nous accompagnons de nos voix chacune de nos contractions, chacun de nos battements… L’apaisement arrive au bout d’un long moment où nous restons enlacés. Je désenroule mes jambes, qui l’avaient pris comme des lianes, desserre mes bras, le libère. Lui me tient encore, les mains posées à plat sur mon dos. Ma tête est relâchée sur son épaule, j’ai les yeux dans le vague. — Flore, ma petite fleur. …Comme il est tendre, ça ne m’agace même pas. J’aime ce type. Je le regarde. Est-ce que ça peut arriver ça ? Il repousse une mèche de mes cheveux qui passe devant mon œil, doucement. Vais-je lui dire comme je veux le revoir, comme je suis prête à tout pour ça ? Il faut que je le lui dise… Il est passé au-delà de mon foutu caractère, a explosé ma carapace, a su lire en moi comme dans un livre ouvert, et je ne lui ai rien dit de plus que : « A bientôt peut-être… ». Je ne connais même pas son ...
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