La rencontre au bureau
Datte: 18/04/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
amour,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
init,
... soupirs : « Oh … Pablo… S’il te plaît… Fais-le… Fais-le….Viens… » Et plaisirs de la langue, finalement… Celui que Pablo avait gardé pour la fin, celui qu’il avait retardé le plus…. Pour Mariane, il s’agissait simplement d’une caresse supplémentaire, mais la caresse la plus délicieuse, car la langue de l’homme était plus douce, plus souple, plus précise, et il savait l’utiliser à la perfection dans les chairs intimes qui s’offraient avec tant d’impudeur. Mais pour l’amant, cette caresse était encore plus excitante, car elle lui permettait également de goûter au précieux nectar onctueux qui s’écoulait goutte à goutte de sa fontaine d’amour… De faire glisser sa langue sur les muqueuses si douces… Il était le premier à explorer les recoins de cette grotte secrète et il jubilait. La langue était tantôt douce et légère, tantôt précise et tonique, et cette alternance d’actions permettait à Mariane d’expérimenter dans sa chair toutes les nuances du plaisir sexuel. Dès que Pablo commença à s’activer avec sa langue entre les cuisses largement écartées, les gémissements et les soupirs de Mariane se firent plus langoureux, plus rapprochés. Elle commença à perdre la tête, tellement le plaisir sexuel la possédait. Elle avait l’impression d’avoir la chatte en feu, de sentir des décharges de plaisir se propager dans tout son corps, elle avait la sensation que son ventre fondait en un torrent de mouille onctueuse dont son amant ne perdait pas la moindre goutte. Elle se sentait heureuse que la ...
... preuve de son excitation lui plaise tant, et plus elle fondait, plus elle avait la sensation de nourrir Pablo avec ses sécrétions les plus intimes, celles qu’elle comptait uniquement réserver à son initiateur et dans un futur plus lointain, à son mari… Mais pour le moment, ce n’était pas à son futur époux qu’elle songeait… Elle ne pensait qu’à l’amant qui s’activait pour son plaisir… À cet instant, ses perceptions sensorielles se limitaient à sa mignonne petite chatte et aux stimulations diverses et variées provoquées par des mains, une bouche, une langue, et Mariane était folle de joie à l’idée quelles appartenaient à son premier amant, un homme auquel elle avait abandonné sa virginité et son cœur. C’était tellement bon, qu’elle voulait que ça continue, encore et encore, que ça ne s’arrête pas… Pablo constatait avec bonheur que la jeune fille timide qui était entrée tout à l’heure dans son bureau était maintenant une jeune femelle en chaleur. Cette métamorphose l’excitait au plus haut point, car il savait que c’était là la conséquence de son travail. Il était content d’avoir pu vérifier qu’il était toujours aussi bon amant et toujours aussi performant dans cet art difficile d’éveiller le désir chez une femme jusqu’à ce qu’elle ait irrésistiblement envie de lui. Bien sûr, il y parvenait régulièrement avec sa femme, mais il la connaissait tellement que ce n’était même plus un défi. Comme disait l’auteur dramatique, à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire… Là, avec cette ...