1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°976)


    Datte: 18/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... laisse de l'ancienne cuisinière et l'entraîna à l'extérieur du Château. Le chemin jusqu'à la demeure des gardes était long et pénible lorsqu'il était fait en quadrupédie, surtout que Walter utilisait le chemin pierreux, ne lui accordant que peu souvent un répit en passant sur la pelouse. Lorsque Zao vit les gardes, elle eut peur. Ils paraissaient durs, sauvages, rustres et vulgaires. Ils étaient très grands, très larges, mais Il n'y avait pas la moindre graisse en trop sur eux, ce n'était que des amas de muscles ! Et pour la première fois, elle se dit qu'il fallait qu'elle fasse réellement des efforts, et que si elle les avait faits avant elle n'aurait pas eu à subir une telle épreuve et qu'elle aurait peut-être été proche de rentrer dans son pays près de "son" Maître qui lui manquait cruellement (pour le moment elle se sentait incapable de supprimer le possessif "son" de son vocabulaire, n’ayant pas encore intégré quelle ne possédait rien et surtout pas un Maître)… Pendant ce temps, dans la cuisine j'avais entièrement nettoyé le sol de ma pâtée à même le carrelage. - Bien la chienne, ces derniers évènements m'ont quelque peu stressée, alors viens entre mes cuisses me détendre et sache utiliser ta langue comme un bonne salope de chienne en chaleur, comme toi, sait le faire ! Et alors qu'elle souleva sa jupe où aucune culotte cachait un sexe parfaitement entretenu par une coupe de poils symétrique de chaque côté, je venais à elle à quatre pattes. Elle s’assit sur une des ...
    ... chaises de la cuisine, écartant largement les cuisses. Quand je fus assez proche, elle me saisit par les cheveux et me plaqua contre sa chatte que je léchais avec application, insistant sur son clitoris que je mordillais légèrement, ce qui la fit ronronner fortement. Ma langue descendit entre ses lèvres intimes et je m'abreuvais de ses sucs intimes. Puis elle remonta sur son petit bouton de chair frémissant et sensible, très vite remplacé par deux de mes doigts, lui caressant ses parois vaginales. Au bout de quelques instants, sous la respiration de plus en plus saccadée de Marie, je glissais un de mes doigts, maintenant trempé de sa mouille, contre sa rondelle, et prenant ses gémissements pour un accord, je l'enfonçais aussi profondément que possible dans ses entrailles. J’entrepris alors un délicieux va et vient simultané dans sa chatte et dans son cul, tout en continuant à lui donner de savants coups de langue. Et bientôt, elle ne retint plus ses cris de jouissance et m'inonda le visage de sa cyprine abondante. Elle m'attrapa les cheveux pour m'éloigner d'elle et s'en servit d'abord pour s'essuyer elle-même puis pour m'essuyer le visage. - Allez, la chienne, c’est bien ! Ta langue de salope a su me contenter … C'est l'heure pour toi de regagner le bureau de Monsieur le Marquis. Dépêche-toi si tu ne veux pas être sanctionnée pour un retard. Je partis donc après avoir embrassé chaque pieds de Marie la cuisinière en guise de reconnaissance et de soumission, et alla frapper à la ...