1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°976)


    Datte: 18/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... porte deux secondes avant que l'horloge ne sonne l'heure. Après être entrée sur Son ordre, le Maître laissa échapper un petit rire. - Eh bien je vois que Marie a pris plaisir à t'utiliser de nouveau ! Viens devant moi, mets-toi à genoux, tête relevée, mais yeux fermés, ainsi que ta petite gueule de chienne. (Et après que je me fus exécuté, Il passa sa main entre mes cuisses qui étaient trempées de ma cyprine, excitée que j'étais d'être à nouveau entre les mains du personnel bien connu du Château, lorsque je n'étais pas aux ordres directement du Maître) - Humm et une petite chienne en chaleur, bien excitée, comme je les aime. Ne bouge plus ! Et je l'entendis ouvrir son pantalon et se masturber devant moi avec vigueur. Il ne tarda pas à m'éjaculer sur le dessus de la tête et sur le visage. Quand Il eut fini, Il étala Sa noble semence sur mon visage, mon cou et mes seins. Puis Il présenta Sa main souillée devant ma bouche m'adressant un "lèche !" Laconique, ce que je fis avec bonheur. - Maintenant va travailler, avec mon odeur et mon précieux nectar sur toi qui sèchera doucement et restera collé sur ta face de petite chienne ! Sois honorée de cela ! Je ...
    ... regagnais ma chaise doublement godée et mon bureau et travaillais tout le reste de la journée. Je sentis le précieux sperme coller sur mes joues, front, menton et j’éprouvais un profond plaisir à cela. Je me sentais même honorée de ce noble cadeau… Le mardi et le mercredi matin passèrent rapidement dans la routine confortable d'une soumise MDE utilisée quand bon Lui semblait, toujours à Sa disposition pour servir de vide-couilles et que ce soit dans n’importe lequel de mes orifices et à n’importe quel moment 24h/24. Confortable, à partir du moment où l'on acceptait de vivre pleinement ce que l'on était, de n'être plus rien qu'un objet servant le plaisir du Maître et de tous ceux qu'Il désignait pour me soumettre… Après le déjeuner, je quittais avec un certain regret le Château, habillée en femme vanille, dans une des voitures que le Noble avait bien voulu daigner me prêter pour aller chercher mes filles. Mais comme à chaque fois que j'étais éloignée pour cette raison de cette magnifique demeure devenue mon chez moi, j'étais pour autant toujours sous le joug du Châtelain et je n'allais pas rester quatre jours sans recevoir de nouvelles exigences… (A suivre …) 
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