1. Quand Cupidon organise le hasard...


    Datte: 19/04/2019, Catégories: fh, fbi, amour, volupté, pénétratio, init, ecriv_c,

    ... sauvage. Mes mains la parcourent, trouvant ses seins durcis, percevant une moiteur intense dans son entrecuisse. Elle gémit, me griffe et réussit enfin à m’enlever le slip. Déjà, ses doigts m’ont saisi et me masturbent doucement. Soudain, en soufflant très fort, elle me force à me mettre sur le dos et me chevauche en s’asseyant sur mon ventre. D’une main elle flatte ma virilité en la calant entre ses fesses. Puis elle se penche, écrasant ses seins sur ma poitrine, et ses lèvres murmurent, tout contre mon oreille : — Mon chéri, Jean-Pierre… Fais-moi femme, baise-moi comme une femme ! Comme, surpris et ravi, je mets du temps à réagir, elle se laisse glisser à mes côtés, s’allonge sur le dos, se passe un bras derrière la tête et m’invite d’une main à la rejoindre. — Viens ! souffle-t-elle, viens, sois doux, je veux… La suite fut délicate et tendre. Je lui fis l’amour le plus légèrement possible. Je me fonds lentement dans son ventre, soyeux et un peu serré. Elle crie alors comme si je la déflorais. Mes fesses garderont longtemps l’empreinte de ses ongles qu’elle enfonce si fort dans ma chair… Quand ma libération est proche et qu’elle le comprend, elle exige de moi une ardeur soutenue. — Viens, viens plus fort ! Et elle hurle enfin, sentant que je me déverse au plus profond de son être. Essoufflée, tremblante, les yeux fermés, elle me serre à m’étouffer, elle me garde en elle, les cuisses relevées et crispées autour de ma taille. Haletante, elle ouvre les yeux, cherche mes ...
    ... lèvres. — Reste ! Reste… Ah ! je t’aime, ne bouge pas, ça coule, c’est délicieux, c’est toi, ton amour ! Enfin, nous nous reposons, allongés côte à côte. En appui sur un coude, je la regarde. Elle reprend son souffle petit à petit, ses deux mains entre les cuisses, et murmure : — Je te sens encore en moi… c’est bon, j’ai un peu mal aussi, enfin… merci, avec toi je suis une femme, je t’aime, je t’aime ! J’adore ce moment. Mais avec Laure c’est autre chose. Je suis heureux et fier de l’avoir aimée ainsi, gommant, je l’espère, ces inhibitions qui la rongeaient. Au moins avec moi… Elle bouge un peu, s’assoit à demi, le dos appuyé sur la tête de lit. — Rallume ! me dit-elle, que je te voie… La faible lumière de la lampe de chevet nous révèle l’un à l’autre. Qu’elle est belle ! J’en prends plein les yeux ! J’essaie de fixer à tout jamais dans ma mémoire son image telle qu’elle m’apparaît maintenant. Ses formes pleines, ses courbes, ses galbes, la lumière qui joue avec les ombres profondes autour des seins, entre les cuisses… Je n’ose lui parler de ce que nous venons de faire, de ce qu’elle a décidé elle-même. Amoureusement elle me regarde, l’air un peu las, en me tenant la main. Enfin elle me sourit, « revenant » en quelque sorte de ce « voyage ». — Voilà ! J’ai sauté le pas, j’attendais ce moment, je ne suis pas déçue. Ça change des filles… Je n’ai pas joui, mais j’ai eu du plaisir, te sentir en moi, que tu te lâches en moi… J’en ai partout… même pas envie de me laver. C’est toi… Elle ...
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