Un bonheur presque parfait
Datte: 22/08/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
fbi,
extracon,
cocus,
handicap,
boitenuit,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
Partouze / Groupe
jouet,
mélo,
amourdura,
amourpass,
amourdram,
regrets,
... qui laissent transparaître leurs sous-vêtements, quand elles en portent… Pour me donner une contenance, je prends une consommation au bar, fais un rapide tour d’horizon comme si je cherchais quelqu’un. Des yeux de femmes croisent parfois mon regard, me sourient sans vulgarité ; j’ai même droit à un joli clin d’œil complice. Je m’attendais à quelque chose de plus glauque… Je jette un œil dans les recoins du bar ; c’est déjà plus chaud : des mains s’aventurent sous les robes et dans les pantalons, je perçois même de petits gémissements. Je continue mon exploration par un couloir qui donne accès à de petites pièces faiblement éclairées. Certaines portes sont fermées, d’autres restent ouvertes. Elles sont toutes occupées. J’entre dans chacune des pièces, espérant retrouver Chloé et sa copine… Dans la première pièce, deux couples se caressent réciproquement le sexe. Ils sont restés habillés : cela ne doit pas être très pratique… Dans la seconde pièce dont la porte est verrouillée, je peux voir par la vitre deux filles qui font un 69 ; deux hommes les regardent en se branlant distraitement. Elles sont nues, les gars sont habillés, ils ont juste ouvert leur braguette. Dans la troisième, deux couples sont accouplés en levrette, côte à côte ; tous sont habillés. Je commence à penser que les échangistes sont pudibonds ou très pressés. Leur porte est ouverte, et plusieurs hommes les regardent avec une main qui s’agite dans le pantalon. D’où je suis, j’entends les gémissements et le ...
... choc des peaux qui se percutent. Le spectacle est intéressant, mais mon esprit est ailleurs. Je quitte la pièce d’autant plus vite qu’une femme qui vient d’arriver me caresse distraitement les fesses et frotte sa poitrine dans mon dos, je sens son parfum et son haleine chaude dans mon cou. Je préfère ne pas me retourner et pars visiter les autres pièces. Malheureusement, une est fermée à clef et n’a pas de fenêtre : mes deux friponnes sont peut-être dedans… Il me reste deux pièces à visiter. La première avec une lumière pâle, envahie par un nuage blanc transparent qui crée une atmosphère onirique. Les gémissements y sont nombreux et sonores : l’acoustique de la pièce permet une diffusion parfaite de chaque son ; c’est terriblement excitant. Quand je m’approche, assez difficilement vu l’affluence des curieux, je vois plusieurs femmes allongées sur le dos, les unes à côté des autres, les fesses à la limite d’un lit très large, les jambes relevées, qui se font pénétrer par des types qui sont debout et habillés, entourés d’hommes qui matent ou attendent pour prendre leur tour. Mais celle que je cherche n’est toujours pas là. A ce stade de ma visite, il me reste deux pièces à visiter : la chambre dans laquelle je n’ai pu pénétrer, et le salon dans lequel je me rends. Contrairement aux autres pièces, celle-ci est assez bien éclairée. J’hésite à entrer, car d’où je suis, je ne vois que des hommes. Je me dis qu’il s’agit peut-être d’une pièce réservée aux gays, mais je veux avoir une ...