1. Un bonheur presque parfait


    Datte: 22/08/2017, Catégories: fh, fhh, fhhh, fbi, extracon, cocus, handicap, boitenuit, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, Partouze / Groupe jouet, mélo, amourdura, amourpass, amourdram, regrets,

    ... certitude. Je m’approche du groupe qui semble hypnotisé par ce qu’il voit, et là, c’est le choc ; je n’en crois pas mes yeux ! Chloé est en position de levrette, les reins cambrés, au milieu d’un immense lit, vêtue d’escarpins, de bas et d’une guêpière qui dénude ses seins. Elle se fait besogner par un gaillard bodybuildé dont le corps est en grande partie recouvert de tatouages. Il la pénètre brutalement, mais elle ne semble pas s’en plaindre. Le tableau est excitant : la belle et la bête… Son regard est absent, elle est concentrée sur son plaisir. Mon émotion est très forte ; je ressens à nouveau la morsure de la jalousie, aussi vive que la première fois où je l’ai vue avec Quentin, et je sens aussi cette magnifique érection qui va de pair… Sa copine est à côté d’elle, à genoux, suçant deux belles queues. À peine suis-je arrivé que Monsieur Muscle pousse un long râle. Quand le sexe du gars quitte le ventre de Chloé, je suis très impressionné par ses dimensions : il est long et épais, recouvert d’un préservatif. À priori, ce n’est pas son mec, car il quitte la pièce en se rebraguettant comme s’il sortait des toilettes. La copine arrête de sucer les deux gars et fait s’allonger le premier. Je me déplace pour mieux voir Chloé. Elle vient s’asseoir à califourchon sur le bassin du type qui est allongé ; une fois en place, elle pose sa poitrine sur son ventre. À peine est-elle installée que le deuxième gars vient la sodomiser sans ménagement. Devant moi, certains types du ...
    ... premier rang ont leur main sur ou dans leur pantalon ; ils attendent leur tour ou regardent le spectacle, ou les deux. Chloé est toujours aussi concentrée, elle gémit doucement sous la violence des chocs. La copine suce deux nouveaux gars tout en suivant le spectacle du coin de l’œil. L’atmosphère du lieu est lourde, les yeux des spectateurs sont pleins de convoitise. Dans ce genre de club, les femmes sont reines : ce sont elles qui décident ce qu’elles font et avec qui elles le font, et beaucoup d’hommes doivent être frustrés ; c’est tout à fait mon cas. En fond d’écran, je vois défiler mes nuits d’amour avec Chloé, ce bonheur simple dont j’avais su longtemps me contenter, et j’ai mal, très mal. Je savais après être entré ici que j’allais souffrir, mais à ce point, je ne pouvais l’imaginer. Partir, regarder, m’enfuir… Malgré moi, je reste… incapable de bouger, résolu à boire le calice jusqu’à la lie. Sur le lit, l’action s’accélère, Chloé commence à crier. Je reconnais les modulations de son orgasme, il n’a pas beaucoup changé ; il est plus contenu, moins spontané. Une fille, derrière moi, s’appuie sur mes épaules pour regarder, frotte sa poitrine contre moi. Je suis légèrement déséquilibré et bouscule le type qui est devant moi. Je lui présente mes excuses. Il se retourne : il a à peu près mon âge, il a l’air sympa. Il me demande si c’est la première fois que je viens ici. Je réponds affirmativement, et il me dit : — Les filles que tu vois là, quand elles viennent, les autres ...
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