la belle mère fin
Datte: 20/04/2019,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... m’a fait face. J’ai été impressionné par ce visage défait et d’une pâleur de linge.« Allonge toi sur le dos »Je l’ai moi même saisi sous les épaules pour l’asseoir sur la table et elle s’est allongé là, les jambes pendantes dans le vide, inerte. J’ai pris ses jambes et je les ai hissé sur mes épaules, après quoi ma bite est entré en elle, là où je l’avais auparavant labouré furieusement et j’ai poussé à fond. Elle a poussé un long cri de douleur quand j’ai heurté l’utérus tout en se raidissant brusquement. D’un seul coup, la douleur qu’elle avait presque oublié lui ai revenue. Son vagin s’est contracté sur ma queue toujours fiché au fond d’elle et j’ai laissé mon plaisir m’envahir alors qu’elle se tordait de douleur sous moi, incapable de s’échapper de mon étreinte. Une longue plainte aiguë accompagna mon flot de sperme trop longtemps retenu, des spasmes pulsaient tout autour de ma queue et le foutre coulait refoulé du vagin.J’ai lentement relâché mon étreinte, ma belle mère ne bougeait plus, elle respirait à peine.J’ai sorti ma queue encore raide de sa fente sans qu’elle n’ait de réaction, elle gisait les bras en croix sur la table de la cuisine, les jambes écartées et pendantes. Le sperme coulait d’entre ses fesses et commençait à former une petite flaque sur le formica luisant.J’ai regardé le spectacle du fluide qui coulait lentement, longtemps, sans réaction moi non plus. J’étais épuisé par tant d’effort et de tension nerveuse, je me sentais comme une poupée de ...
... chiffons.Comment ai-je eu la force de la prendre dans mes bras et la porter jusqu’à son lit ? je ne saurais le dire. Elle a gémit, crié de douleur et de fatigue et s’est écroulée dans son lit sans demander son reste. J’ai entendu un dernier pet sonore et j’ai refermé la porte.*Le lendemain, ma femme m’a appris sa sortie imminente, j’étais content, mais il n’y a pas eu de séance de suce ce jour là à la clinique, j’étais trop crevé. Ma belle mère n’a émergé que vers midi et s’est plainte d’avoir mal au cul et au ventre.Si son mal au cul s’est atténué, son mal de ventre lui, persistait et quelques jours plus tard il a fallu qu’elle consulte son gynécologue. Elle marchait les cuisses serrées en se tenant le ventre.Je l’ai accompagné chez le médecin, c’est bien le moins que je pouvais faire et dans le silence du salon d’attente j’ai entendu le praticien lui faire la leçon, comme quoi il n’était pas raisonnable à son age d’avoir des rapports aussi violents. Son utérus était enflé, rouge et douloureux, il nécessitait des soins et une abstinence complète de plusieurs semaines. Je sentais bien que le médecin était perplexe de voir une femme de cet age se présenter avec de tels symptômes. Il lui demanda si elle n’avait pas été victime d’un viol et tandis qu’elle répondait par la négative, la perplexité du médecin augmentait. « Mais enfin chère amie, vous ne vous êtes pas fait ça toute seule quand même ?! »Ma belle mère a bredouillé quelque chose que je n’ai pas compris et nous en sommes resté ...