la belle mère fin
Datte: 20/04/2019,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... là.En sortant le médecin lui donnait toujours des conseils de prudence et je lui ai souri angéliquement.*Belle maman a changé son attitude envers moi, sa morgue s’est muée en crainte et elle baisse son regard quand je la regarde. Elle m’obéit bien au doigt et à l’œil quand elle vient nous rendre visite, et si elle est sage elle a droit à sa séance de jambes en l’air, en version soft pour ne pas affoler son gynécologue. « Tiens, mets ta main entre mes cuisses, tu vas voir comment je trempe, là donne ta main laisse moi faire, je vais te faire voir comment je mouille pour toi, pour ta queue ! » Elle a pris mon poignet et a guidé mes doigts sur son entre cuisses sous sa jupe. J’ai senti ses poils pubiens, elle a insisté et frotté ma main sur sa chatte pour que je sente sa moiteur. Quand j’ai eu la sensation chaude et humide de son sexe, j’ai dégagé mon poignet et je me suis mis à la fourrager furieusement, palpant durement son entre cuisses qu’elle m’offrait en ouvrant ses jambes.« C’est bon non ? c’est chaud et mouillé tu sens ? Oh oui palpe moi la fente salaud, vas y, prends ce que tu veux, fouille moi la chatte ! mets y les doigts, mets y ta bite, ce que tu voudras y mettre, fourre moi la fente mon beau fils vas y, vas y ! »Je regardais fasciné son visage chaviré par le délire, sa tête qu’elle hochait de droite à gauche et qu’elle rejetait en arrière, cambrant ses reins et offrant son ventre à ma rugueuse caresse.Je l’ai prise ainsi, dans la cuisine, je lui ai ordonné de se ...
... pencher en avant et de se tenir à la table, de cambrer ses reins. J’ai relevé définitivement sa jupe sur ses fesses et j’ai défait ma braguette. Ma bite a jailli et sans plus attendre j’ai fourré mon membre dans la raie sombre de son cul. En m’aidant de mes doigts j’ai cherché la fente qui s’est ouverte sans mal et j’ai guidé mon gland jusqu’aux lèvres chaudes qui l’ont englouti.Un coup de rein m’a propulsé en son ventre et j’ai limé méthodiquement, comme un mac lime sa pute, par devoir et pour lui montrer que l’homme est l’homme et que chacun doit rester à sa place. Je n’avais pas envi de jouir, j’étais froid, appliqué dans la baise, ramonant cette fente entre ces cuisses ouvertes, ce fessier offert, tendu en l’air et soumis. J’ai poussé mon braque à fond, j’ai touché son utérus, elle a tressailli et j’ai poussé plus fort, conscient et content de lui faire mal. Elle a gémit d’abord puis elle a poussé des cris de douleurs tandis que mon gland battait le fond de son vagin et finissait par lui tirer des plaintes. Ses cris de douleurs m’ont stimulé, ma bite a encore grossi, j’ai poussé encore contre la paroi qui arrêtait ma course, frustré de ne pouvoir aller plus loin, ma belle mère criait maintenant sa douleur en me suppliant d’arrêter, mais je la tenais fermement par les hanches. Quand elle voulait se débattre, je m’affalais sur elle de telle sorte qu’elle ne pouvait plus bouger et qu’elle recevait ma queue plus profondément dans des râles de douleur plus que de jouissance. Je ...