Le plus beau jour de ma vie (1)
Datte: 22/08/2017,
Catégories:
Hétéro
... prévu de vous l’annoncer aujourd’hui. Si tu lui dis un seul mot, je te colle une fessée dont tu te souviendras un bon moment ; mais là, une vraie ! — OK, je ne dirai rien, promis. Par contre, pour la fessée un peu sexe, je prends : j’aime bien. — Tu es incorrigible ! Tu ne penses qu’au sexe ! — La faute à qui, hein ? Non, je te taquine. — J’espère bien… Il faut être sage ; ce sera mieux pour tout le monde. Cela n’enlève en rien à la complicité que nous avons ; on fait comme avant, sans sexe, c’est tout. — D’accord, maman, c’est promis. — Et toi, avec Jean-Mi ? Raconte. Vous allez vous marier ? — Je ne sais pas ; pour le moment, il ne m’en a pas parlé. — J’aimerais bien, ce serait cool. Si tu te maries, je veux me marier en même temps que toi. Tu imagines la noce ? — On ne se marie pas pour faire la fête, ma chérie. — Je sais, mais ce serait chouette, c’est tout. Bon, puisque tu ne veux plus t’occuper de moi, je vais me venger sur Manu ! lui réponds-je en simulant un air boudeur. La vue de ma mère dans cette position est en train de me mettre le feu, mais maintenant c’est le fruit défendu. J’ai envie de lui sauter dessus, de l’embrasser, de la caresser, de lui faire tout un tas de choses… — Maman, il faut que je bouge, sinon je ne sais pas ce qui va arriver. Elle a bien compris de quoi je veux parler. — On plonge ? me propose-t-elle. — Oui, mais tu as testé l’eau ? — Je sais, elle est glaciale : ça va te rafraîchir les idées ! Donne-moi la main. Elle m’attrape la main, et ...
... plouf, nous voilà dans cette eau pure mais toujours aussi glaciale. Ce plongeon met immédiatement fin à toute pensée grivoise. Nous nageons puis sortons de l’eau et retournons à notre petite maison. Les garçons sont de retour. Bisous et tenue de rigueur oblige. — Vous avez trouvé ce que vous vouliez ? interroge maman. — Oui. Vous m’aidez à ranger tout cela ? répond-il en désignant le coffre de la voiture. Maman et Jean-Mi entrent dans la maison, les bras chargés de sacs. Je bloque Manu contre la voiture et, ventre contre ventre, je me frotte à lui, je l’embrasse avec passion. Le vent et le soleil mes caressent le dos et les fesses ; les mains de Manu aussi. Il commence à bander. Une voix nous interpelle : — Quand vous aurez fini de vous bécoter, vous viendrez nous aider ? — Oui maman, on arrive. Une fois le déchargement effectué, nous nous installons sur les bancs en bois ; cul-nu là-dessus, ce n’est pas très confortable, mais bon… Jean-Mi prend la parole : — Je vous propose une sortie en ville cet après midi ; nous sommes allés au syndicat d’initiative où nous avons trouvé plein de choses intéressantes à visiter. Ça vous dit ? Et ce soir, nous pourrions aller manger quelque part. Tout le monde répond par l’affirmative. — Bien. Manu, te me donnes un coup de main. Les deux garçons se lèvent, entrent dans la maison, et après quelques bruits de bouteilles, verres et autres froissement de papiers, ils réapparaissent les bras chargés d’un plateau garni de toasts, coupes et champagne ; ...